Santé
Soulager le mal de dos avec des élongations
Santé
Aujourd’hui 7 français sur 10 souffrent du dos. Une opération chirurgicale sur dix pratiquées dans l’hexagone touche le dos. Hernies discales, sciatiques, lombalgies, tous ces maux peuvent rapidement nous gâcher la vie. Nous cherchons tous des remèdes, des positions pour soulager les douleurs. C’est ce qu’a fait le docteur Denis REMY en inventant Le SIPHO. Le SIPHO est une table d’auto élongation pour les personnes souffrant du dos et celles qui désirent l’entretenir. Simple d’utilisation et d’une efficacité reconnue.
Mal de dos, que faire ?
La plupart des personnes averties connaissent quelques solutions pour ne pas avoir mal au dos ou pour diminuer les douleurs de dos trop régulières. Malheureusement le plus souvent, ces solutions ne sont pas suffisantes voir contraignantes et difficiles à mettre en place pour une grande majorité.
Nous pouvons facilement constater que la douleur diminue notre mobilité. Elle préoccupe l’esprit, ce qui nous rend donc moins disponible à tous les niveaux (Travail, loisir, vie familiale ou sociale…).
Le lombalgique chronique comprend bien que chaque geste du quotidien devient difficile ou délicat.
La médecine classique nous donne peu de solutions face aux problèmes de dos. Les anti-inflammatoires ou l’intervention chirurgicale (indispensable dans certains cas extrême) ne sont pas des solutions sur le long terme.
Certaines gymnastiques corporelles ou autres techniques de rééducation musculaire seront bénéfiques si elles sont bien pratiquées ou accompagnées par un thérapeute.
Le souci pour la plupart des techniques corporelles réside dans le fait qu’elles ne sont pas toujours faciles à mettre en place. Généralement, il est indispensable qu’elles soient pratiquées de manière régulière et suffisamment longtemps pour être efficaces.
Pour exemple la piscine ou l’aquagym sont de bonnes pratiques contre le mal de dos. Mais nous comprenons facilement que leurs pratiques quotidiennes ou régulières peuvent rapidement devenir compliquées.
Le SIPHO répond à ces contraintes et vous permet de réinvestir votre dos en sécurité.
Comprendre la douleur
Les causes du mal de dos sont multiples et souvent difficile à bien diagnostiquer.
80% des douleurs sont dites mécaniques. Par définition, ce sont des douleurs provoquées par une augmentation des pressions sur les zones sensibles de la colonne vertébrale, à savoir les disques intervertébraux, les muscles, les ligaments para vertébraux, et les racines nerveuses émergeant par les trous de conjugaison.
Pour mieux comprendre le phénomène douloureux nous parlerons d’hernies discales, de sciatique, de contractures musculaires, scoliose, canal lombaire étroit…. Ce sont des douleurs dues à l’usure du temps, du travail, des loisirs ou des mauvaises postures répétitives.
Le mode de vie moderne n’arrangeant rien, nous sommes de plus en plus en position assise prolongée, dans notre voiture, derrière notre ordinateur… sans compter le stress de notre société moderne ou tout va trop vite.
Les origines mécaniques ne sont pas les seules responsables des maux de dos, d’autres douleurs demandent également un diagnostique et un traitement médical bien spécifique.
C’est dans le cas de douleurs mécanique que le SIPHO sera très efficace.
En bref
Le SIPHO et sa méthode vous permettent de décompresser votre dos et ses zones douloureuses tout en tonifiant votre musculature en sécurité.
Le SIPHO donne d’excellents résultats dans les pathologies d’origine mécanique :
Lombalgie Dorsalgie Cervicalgie – Hernie discale sciatique Hyper lordose Canal lombaire étroit Scoliose…etc
Le SIPHO et sa méthode ont été élaborés par le Dr Denis REMY, reconnus et développés par des professionnels de la santé, rhumatologues, kinésithérapeutes et ostéopathes.
Médaille d’or de la médecine du sport 2007 – Médaille d’or du concours Lépine 2002
Le SIPHO ne demande que 1 à 5 min d’utilisation par jour. Pour vous rassurer sur son efficacité, nous vous proposons une période d’essai d’un mois sans engagement d’achat.
A la Une
Le SIPHO,
une solution contre le mal de dos
Le SIPHO a été inventé par le Docteur Denis REMY.
Cet appareil a été conçu pour mettre en pratique la méthode thérapeutique "LA PAUSE SIPHO". Le matériel et la méthode SIPHO ont été développés et améliorés avec des professionnels de la santé (Rhumatologues, Kinésithérapeutes et ostéopathes) pendant plusieurs années.
Le SIPHO et sa méthode ont été Médaillés d’or du concours Lépine en 2002 et de la société française de médecine du sport en 2007. Depuis maintenant quatre ans Roman REMY, fils de l’inventeur, a créé une entreprise pour faire connaître le SIPHO et le rendre plus accessible.
De manière simple à domicile le SIPHO permet à une grande majorité de la population de se prendre en charge et d’entretenir son dos quotidiennement en sécurité. Le principe du SIPHO est d’utiliser la pesanteur du corps et un panel d’exercices adéquats. Les personnes souffrant du dos peuvent décomprimer leur colonne vertébrale et rééduquer leurs muscles affaiblis sans contrainte et sans risque.
En préventif, le SIPHO est évidemment fortement conseillé.
Sur le SIPHO nous inversons les cambrures pour redresser la colonne, l’étirer et libérer les racines nerveuses et les zones douloureuses.
La Pause SIPHO nous apprend aussi à mieux connaître notre dos et à savoir le ménager dans la vie quotidienne. Cet apprentissage se fait de manière inconsciente, c’est l’effet répété, l’utilisation quotidienne, qui fait que notre cerveau intègre la position de soulagement du dos. Le SIPHO vous permettra donc d’avoir un meilleur maintien et de rééquilibrer votre dos.
Ainsi, le SIPHO doit être utilisé régulièrement, pas longtemps, mais régulièrement, si on ne fait qu’une séance de 20 min par semaine, l’efficacité sera moindre comparée à 1 séance de 2 min tous les jours.
Le SIPHO vous permet de retrouver un confort de vie car vous sécurisez votre dos après l’effort en effaçant toutes les tensions accumulées lors de port de charge ou autres travaux contraignants pour le dos.
Le SIPHO est l’outil indispensable pour soulager et rééduquer votre dos sans contrainte. Pour résumer le SIPHO est simple d’utilisation, rapide et efficace.
Pour tout renseignement et commande s’adresser à :
LA PAUSE SIPHO
28 rue du général Maistre – 52100 Saint-Dizier – France
Tél : 03.25.05.44.93 / 06.31.92.62.50 – contact@sipho.fr – www.sipho.fr
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Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
A la Une
Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)
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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?