Connecte-toi avec nous

Référentiel de l’agriculture raisonnée

Publié

au

S’abonner
pour recevoir
les articles par mail

Référentiel de l’agriculture raisonnée

Eco-consommer

Arrêté du 30 avril 2002 relatif au référentiel de l’agriculture raisonnée

J.O. Numéro 104 du 4 Mai 2002 page 8519
NOR : AGRR0201002A

Les exigences signalées par un astérisque renvoient à des dispositions réglementaires en vigueur.

I. – Connaissance de l’exploitation et de son environnement

1. Etre abonné à au moins un journal d’information technique agricole ou à un service de conseil technique.
2. Disposer d’un plan de l’exploitation à une échelle permettant de localiser les bâtiments, les parcelles et les différents éléments de la géographie et de l’environnement, en particulier les zones sensibles pour la qualité de l’eau. Pour les exploitations où des effluents d’élevages ou de boues résiduaires urbaines ou industrielles sont épandus, les surfaces non épandables figureront sur ce plan.
3. Le chef d’exploitation doit suivre une formation relative à l’agriculture et à l’environnement au moins tous les cinq ans et la proposer à tous ses salariés permanents et saisonniers habituels. Si le chef d’exploitation n’a pas suivi une telle formation dans les cinq ans précédant la qualification, il doit le faire dans les deux ans qui suivent la qualification.
4. S’il exerce une activité d’élevage, suivre, dans les deux ans qui suivent la qualification, une formation spécifique sur le bien-être des animaux destinée à actualiser les connaissances de l’éleveur sur l’évolution de la réglementation et des techniques.

II. – Traçabilité des pratiques

5. Les interventions à enregistrer doivent l’être dans les huit jours suivant leur réalisation. Les enregistrements doivent être effectués depuis au moins trois mois au moment de la qualification.
6. Sauf mention différente, les enregistrements doivent être conservés cinq ans pour toutes les productions végétales et animales, à l’exception des volailles pour lesquelles ils doivent être conservés trois ans.

III. – Santé et sécurité au travail

7. Mettre à disposition des salariés des installations sanitaires en bon état (douches, lavabos, toilettes). En l’absence d’installations spécifiques, les salariés doivent avoir accès aux installations de l’exploitant.
8. Les chefs d’exploitation, la main-d’oeuvre familiale et les salariés de l’exploitation doivent suivre, dans l’année qui suit la qualification, une formation à la sécurité au travail correspondant aux tâches réalisées.
9. Disposer des équipements de protection des utilisateurs pour la manipulation des produits phytosanitaires.

IV. – Gestion des sols

10. Mettre en oeuvre un programme d’analyses permettant d’assurer un suivi physico-chimique (granulométrie, carbone organique, pH, capacité d’échanges cationiques) des sols des parcelles labourables de l’exploitation. Ce programme comporte des analyses de terre par grand type de sol et système de culture présent sur l’exploitation. Il doit être prêt lors de la qualification et les analyses réalisées, dans l’année qui suit l’attribution de la qualification, et renouvelées, pour les paramètres chimiques, au moins tous les six ans. Les analyses doivent être réalisées par un laboratoire agréé par le ministère de l’agriculture.

V. – Fertilisation minérale et organique

V. a. Stockage des engrais

11. Ne pas stocker d’engrais liquide dans un réservoir enterré.
12. Equiper les cuves de plus de 100 m3 d’engrais liquide d’un bac de rétention, le volume retenu devant être au moins égal à la capacité du plus grand réservoir ou à 50 % de la capacité totale*.
13. Equiper, dès leur installation, les nouvelles cuves de stockage d’engrais liquide d’une rétention étanche, le volume retenu devant être au moins égal à la capacité du plus grand réservoir ou à 50 % de la capacité totale.
14. Disposer d’un stockage d’engrais minéraux solides sur une aire stabilisée, couverte, séparée de manière à éviter toute contamination des produits agricoles destinés à l’alimentation humaine et animale et à l’écart de dépôts de matières explosives, inflammables et combustibles.

V. b. Stockage des effluents d’élevage

15. Pour les élevages pouvant bénéficier du programme de maîtrise des pollutions d’élevage (PMPOA), s’être engagé dans la démarche.
16. Connaître les quantités d’effluents produites sur l’exploitation.
17. Stocker les effluents de l’élevage dans des conditions qui évitent tout écoulement direct dans le milieu naturel. Les effluents liquides (purins, lisiers) doivent être récupérés avant écoulement vers le milieu naturel et stockés dans un lieu étanche*.
18. A compter de la qualification, ne réaliser de stockages au champ de fumier compact pailleux qu’en dehors des secteurs de l’exploitation identifiés à risque (fortes pentes, parcelles inondables, cuvettes, zones d’infiltration préférentielle, puits…).

V. c. Epandage des fertilisants

19. Disposer du matériel d’épandage adapté aux types de fertilisants épandus (engrais, fumier, lisier, fientes…). La vérification sera faite notamment à partir des manuels d’utilisation des matériels utilisés.
20. Connaître les valeurs fertilisantes des engrais, des effluents d’élevage et des boues industrielles et urbaines utilisés.
21. En zone vulnérable, établir, chaque année, un plan prévisionnel de fumure pour les cultures de plein champ :

  • en tenant compte des apports organiques (effluents d’élevage de l’exploitation ou d’autres exploitations, effluents et boues industriels et boues urbaines), des analyses de sol, des reliquats estimés et des cultures intermédiaires, ainsi que des apports estimés de nitrates par l’eau d’irrigation (si les périodes d’irrigation et de fertilisation coïncident) ;
  • en répartissant l’épandage des effluents d’élevage sur la plus large surface épandable possible (surfaces épandables identifiées sur le plan de l’exploitation, voir I) selon la rotation et pendant les périodes présentant le moins de risques pour la qualité de l’eau ;
  • en ajustant les apports d’azote, de phosphore et de potassium aux besoins des plantes.
  • Pour l’azote, le plan doit être réalisé conformément aux prescriptions du programme d’action. En particulier, l’azote ne doit être apporté qu’en dehors des périodes d’interdiction des épandages et sans dépasser les maximums autorisés, notamment le plafond de 170 kg d’azote d’origine animale par hectare en moyenne sur l’exploitation. Le respect des périodes d’épandage des effluents de leur élevage n’est pas une obligation pour les éleveurs n’ayant pas encore pu réaliser la mise en conformité de leur élevage, sans que la cause leur en soit imputable, dès lors que des améliorations de pratiques ne suffisent pas.
    22. Enregistrer les apports de fertilisants par îlot cultural (date, type de fertilisant, apport N, P, K).
    23. A compter de la qualification, participer, lorsqu’elles existent, aux actions collectives locales, de type Ferti-mieux, ayant pour objectif de réduire les impacts de la fertilisation sur l’environnement.

    V. d. Epandage d’effluents d’élevage hors de l’exploitation productrice

    24. Pour les effluents de l’élevage épandus dans d’autres exploitations, disposer d’un contrat spécifiant l’origine, la nature des effluents et les terrains concernés par l’épandage*.
    25. Pour les effluents d’élevage provenant d’autres exploitations, disposer du contrat liant l’exploitation au producteur des effluents et spécifiant l’origine et la nature des effluents et les terrains concernés par l’épandage.

    V. e. Epandage de boues résiduaires urbaines et industrielles

    Les exigences du V. e s’appliquent aussi aux produits à base de boues résiduaires urbaines et industrielles. Mais elles ne s’appliquent pas aux effluents transformés qui bénéficient d’une normalisation ou d’une homologation au titre de la réglementation des matières fertilisantes et supports de cultures.

    26. Connaître l’origine et la nature des boues épandues, la caractérisation de ces boues à partir des informations fournies par le producteur des boues (valeurs fertilisantes, éléments traces métalliques, éléments traces organiques), les modalités d’épandage et les terrains de l’exploitation concernés par l’épandage.
    27. Disposer du contrat de mise à disposition des terres pour l’épandage des boues, ainsi que des borderaux de livraison.
    28. A compter de la qualification, exiger du producteur de boues résiduaires industrielles et urbaines épandues la fourniture des résultats d’analyse des boues et des sols concernés par l’épandage (" suivi agronomique "), qui doivent être conformes avec les teneurs limites définies dans la réglementation, et les conserver au moins dix ans.95. Assurer la propreté des voies d’accès à l’exploitation et des abords ainsi qu’un bon état général des bâtiments. Ne sont concernées que les interventions relevant de la responsabilité du chef ou responsable de l’exploitation.
    96. S’assurer que les voies d’accès à l’élevage sont stabilisées (pour les parties des voies appartenant à l’exploitation) et exemptes d’écoulement d’effluents provenant de l’élevage.
    97. Mettre en oeuvre les mesures d’intégration paysagère accompagnant les permis de construire des nouveaux bâtiments.*
    98. Si l’exploitation comporte des parcelles incluses dans un site Natura 2000, mettre en oeuvre les mesures prévues par le document d’objectifs dans l’année qui suit la qualification et compléter les enregistrements en conséquence.

    =================> Suite de l’article <=================

    Echo Nature
    Le magazine d’information environnementale

    Les derniers titres de l’actu
    "Agriculture"


    Continuer la lecture

    ACTUALITE

    Huiles essentielles : découvrez le ravintsara et ses bienfaits

    Publié

    au

    Par

    De plus en plus de français vantent les vertus des huiles essentielles pour un usage quotidien. En diffusion, inhalation, massages ou parfois même en ingestion, certaines essences, comme la lavande ou l’eucalyptus, sont plébiscitées. A Albi, une boutique aide même des patients atteints de Covid-19 à retrouver l’odorat grâce à l’aromathérapie ! Huile essentielle phare des connaisseurs, le ravintsara reste relativement méconnu du grand public. Zoom sur cette plante complète et familiale. 

    Mais d’où viennent les huiles essentielles de Ravintsara ?

    Importé de Chine, le ravintsara est un arbre qui pousse aujourd’hui principalement sur l’île de Madagascar. Bien que faisant partie de la famille des camphriers, vous ne trouverez pas de camphre dans l’huile essentielle de ravintsara ! Attention également à ne pas le confondre avec le ravensare aromatique, lui aussi présent sur les terres malgaches. Ce dernier fait partie de la famille des lauracées et ses indications sont très différentes.

    Obtenue par distillation des feuilles fraîches à la vapeur, la teneur en eucalyptol est élevée avec l’huile essentielle de ravintsara. Ceci lui confère donc une odeur agréable, fraîche et légèrement épicée.

    Ravintsara indication : dans quelles circonstances utiliser cette huile essentielle ?

    Comme pour beaucoup d’huiles essentielles, l’essence de ravintsara possède de nombreux atouts et peut être utilisée pour vous aider dans différents domaines.

    L’huile essentielle de ravintsara et les affections respiratoires

    Le ravintsara est reconnu pour ses qualités anti-infectieuses, antivirales et tonifiantes. L’huile essentielle de ravintsara est ainsi le plus souvent indiquée pour aider à soulager les affections respiratoires telles que la grippe, la bronchite ou les rhinopharyngites. Considéré comme un antibiotique naturel, le ravintsara possède des propriétés fluidifiantes et expectorantes, particulièrement conseillée dans les toux sèches. Il est également préconisé pour stimuler les défenses immunitaires et renforcer l’organisme contre les maux de l’hiver.

    Les autres indications du ravintsara

    Également antispasmodique, l’huile essentielle de ravintsara peut aider à soulager certaines douleurs intestinales et favorise la décontraction musculaire. Toutefois, c’est aussi pour ses bienfaits sur le tonus et l’équilibre nerveux que cette plante est souvent conseillée. Soutien contre la fatigue et les moments de déprime, le ravintsara peut aider à l’endormissement grâce à ses vertus anti-stress, et devenir un ami précieux dans l’insomnie et les troubles du sommeil.

    Utilisations et précautions d’emploi de l’huile essentielle de ravintsara

    Si elles sont réputées pour leur efficacité, certaines huiles essentielles sont à manier avec précaution. Des articles de presse viennent régulièrement mettre en garde contre des effets indésirables, ou même des dangers avec les sprays et les diffuseurs par exemple. Alors, qu’en est-il de l’huile essentielle de ravintsara ?

    Ravintsara et grossesse : évidemment déconseillé

    L’usage de l’huile essentielle de ravintsara est familial. Cela veut dire qu’il peut être utilisé pour tous à partir de 3 ans. Deux contre-indications de taille sont à noter toutefois : le ravintsara est interdit pour les personnes sous traitement immunosuppresseur, et il est également proscrit pour les femmes enceintes. Après la grossesse, il est aussi conseillé aux femmes allaitantes de demander un avis à leur médecin avant d’utiliser cette huile essentielle.

    Comment utiliser les huiles essentielles de ravintsara ?

    Selon le but recherché, il est possible d’utiliser les huiles essentielles en diffusion, en inhalation, par voie cutanée ou par voie interne. Certaines essences peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont ingérées. Ce n’est pas le cas du ravintsara. Avec cette plante, tous les modes d’utilisation sont possibles sans danger, dès lors que les restrictions évoquées précédemment sont respectées. 

    Une ou deux gouttes sous la langue, massage ou diffusion en synergie, inhalation par vapeur ou sur un mouchoir : tout est possible avec l’huile essentielle de ravintsara. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un spécialiste en aromathérapie pour déterminer les usages les plus efficaces par rapport à votre problématique.

    Devenez imbattable sur toutes les huiles essentielles après le ravintsara

    Vous avez découvert l’huile essentielle de ravintsara et ses multiples avantages. Découvrez l’aromathérapie dans son ensemble et déclinez les huiles essentielles en des synergies qui vous ressemblent. Cela pourrait bien changer votre vie.

    Continuer la lecture

    ACTUALITE

    Sommeil : nos conseils pour s’endormir facilement et rapidement

    Publié

    au

    Par

    Identifier la cause de ses problèmes de sommeil n’est pas toujours chose aisée. En effet, les raisons d’un mauvais sommeil sont diverses et peuvent être d’origine psychologique, physiologique ou environnementale. Parmi elles, le stress, une alimentation déséquilibrée, des excès de caféine ou d’alcool, l’utilisation d’écrans au coucher, ou encore un environnement peu propice au sommeil (bruit, chaleur, luminosité, mauvaise literie) etc. Mettre le doigt sur les sources de vos troubles du sommeil vous permettra de trouver des solutions adaptées. 

     

    Prendre conscience de son rythme circadien 

     

    Nous possédons tous une horloge interne de sommeil, appelée rythme circadien, qui influence notre sensation de fatigue. C’est un rythme qui est défini par l’alternance entre la veille, qui correspond à la période de la journée où l’on est éveillé, et le sommeil. Le décalage horaire ou encore un endormissement et un réveil à des heures différentes perturbent fréquemment les rythmes habituels de sommeil et de veille.

    Il convient de se coucher tous les soirs à peu près à la même heure pour permettre à son rythme circadien de programmer cette heure de manière interne. Pratiquer une activité physique pendant la journée est également conseillé pour améliorer la qualité de votre sommeil. Toutefois, un entraînement trop intensif, notamment en fin de journée, peut provoquer des problèmes à l’endormissement.

     

    Améliorer sa literie 

     

    Vous dormez sur un matelas qui commence à vieillir ou utilisez un oreiller devenu difforme avec le temps ? Une literie usée peut engendrer des troubles du sommeil non négligeables, en plus de problèmes de santé, notamment des maux de dos.

    Il est peut-être temps d’opter pour une literie de meilleure qualité ! De plus en plus de marques développent des technologies avancées qui promettent une expérience de sommeil optimale. Ainsi, les matelas Emma offrent une adaptabilité maximale, grâce à une technologie de mousse qui propose plusieurs zones de confort et qui convient donc à toutes les morphologies.

     

    Contrer le stress

     

    Si c’est le stress qui vous empêche d’avoir un sommeil digne de ce nom, alors il va vous falloir trouver les méthodes qui vous permettront de le gérer au mieux. Il existe une foule de techniques à essayer, telles que l’aromathérapie, la méditation, l’ASMR, la lecture, l’écriture, s’endormir avec de la musique… S’accorder entre 30 minutes et 1 heure de relaxation avant de se coucher peut avoir de formidables résultats. Votre corps et votre esprit s’en trouveront détendus avant même que votre tête ne touche l’oreiller.

    Continuer la lecture

    ACTUALITE

    Assurance habitation : nos conseils pour bien faire votre choix

    Publié

    au

    Par

    L’assurance habitation est primordiale afin de protéger votre logement et vos biens en cas de sinistre, mais aussi les membres de votre foyer. Véritable garantie pour faire face aux aléas de la vie, elle permet de se prémunir contre les préjudices. Découvrez nos conseils afin de choisir l’assurance habitation la plus adaptée à votre situation, qui vous assurera une sérénité garantie.

    Assurance habitation : une obligation ?

    Vous êtes locataire ? Vous avez l’obligation de souscrire à une assurance habitation auprès d’un assureur comme Groupama par exemple. Vous êtes copropriétaire occupant ou non occupant de votre logement et vous le louez ? Il est obligatoire dans ce cas, d’assurer à minima sa responsabilité civile pour pouvoir être couvert des éventuels dommages causés aux autres. Ne pas être assuré, c’est prendre le risque de devoir assumer seul l’entière responsabilité financière des sinistres causés par soi-même ou par le logement lui-même.

    Evaluez rigoureusement vos besoins 

    Afin d’opter pour une assurance habitation adaptée, il convient de prendre en compte plusieurs critères : la composition de votre foyer, vos besoins spécifiques, votre situation (propriétaire ou locataire)… Pour qu’elle vous protège au mieux, une assurance habitation doit pouvoir compenser la dégradation, le vol ou la destruction de vos biens en cas de sinistre.

    Estimez la valeur de vos biens de façon précise

    Pour qu’ils soient couverts à leur juste valeur, il est important d’évaluer avec justesse la valeur de vos biens mobiliers. Cela concerne l’ensemble des objets personnels qui se trouvent dans votre logement : meubles, électroménager, équipements technologiques ou encore vêtements ou sacs à main… A noter qu’il vaut mieux surestimer et être bien couvert, plutôt que de minimiser afin d’obtenir une prime moins chère. Petit conseil supplémentaire : conservez les justificatifs d’achat et des photos de vos biens en cas de sinistre.

    Comptabilisez les pièces de votre logement

    Certains contrats considèrent comme pièce une surface de plus de 7m2 quand d’autres exigent plus de 9m2. Cuisine, salle de bains, toilettes, entrée et terrasse ne sont pas comptabilisées, à la différence des combles transformés en mezzanine ou en pièces à vivre. En outre, selon les contrats, une pièce de plus de 30 ou 40 m2 peut être considérée comme constituant 2 pièces.

    Forts de ces conseils, il ne vous reste plus qu’à demander et à comparer des devis d’assurances habitation de différents acteurs de référence du marché comme Groupama, par exemple. 

    Continuer la lecture

    Tendance