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Les territoires insulaires se convertissent à l’éclairage public intelligent

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L’éclairage public français est vieillissant et fortement consommateur d’énergie. Des solutions innovantes existent pour réduire l’empreinte lumineuse et environnementale des lampadaires, tout en permettant de baisser la facture. Des solutions particulièrement adaptées aux territoires insulaires.
Qu’est-ce qui représente 9 millions de points lumineux – soit l’équivalent, en mégawatts, d’un réacteur nucléaire –, un coût de 9,3 euros par habitant et par an, 3 200 heures par an de fonctionnement moyen, 12% de la consommation électrique française ou encore 85 000 tonnes de CO2 par an et qui a de 20 à 30 ans d’âge moyen ? Réponse : l’éclairage public.
« Eclairer juste, c’est aussi consommer moins »
Si, pour neuf Français sur dix, l’éclairage public est un enjeu de sécurité, ce poste représente aussi, en moyenne, 46% de la consommation énergétique d’une commune et 58% de la sa consommation électrique.
A l’enjeu de la sécurité s’ajoutent donc ceux de la maîtrise de la consommation d’énergie, de la diminution des nuisances lumineuses ou encore de la collecte et du recyclage du matériel usagé. En effet, plus de la moitié du parc français serait obsolète et surconsommerait donc de l’énergie : il s’agit des boules diffusantes ou lampes à vapeur de mercure, dont près de 40% ont plus de 25 ans. La pollution lumineuse a également un impact sur les populations animales, végétales et humaines, affectant les systèmes nerveux et hormonal.
Que faire pour limiter ces désagréments ? Il n’est, évidemment, pas question de plonger nos rues et routes dans le noir. « Il ne s’agit pas de s’opposer à tout éclairage artificiel, souligne l’association Agir pour l’environnement, mais de promouvoir des modes d’éclairage doux et raisonnés, dans le respect de l’environnement ». « Eclairer juste, c’est aussi consommer moins », abonde l’Ademe.
Ce constat, beaucoup de communes en France le dressent à leur tour. Elles sont de plus en plus nombreuses à entreprendre la rénovation de leur éclairage public, afin de lutter contre la pollution lumineuse et de réaliser des économies d’énergie : suppression des boules énergivores, lampes basses consommation, réduction de puissance, télégestion et télémaintenance… Autant de solutions pour un éclairage public plus intelligent.
Des solutions pour un éclairage public plus intelligent
L’éventail des solutions innovantes destinées à rendre l’éclairage public à la fois moins énergivore, moins cher et plus efficace sont nombreuses. A commencer par la télégestion et la télémaintenance. Si la première se présente comme un système de gestion globale de l’éclairage public à partir d’un centre de contrôle qui commande chaque point lumineux, la seconde, complémentaire, permet de faire remonter au centre de contrôle les dysfonctionnements ou de planifier et contrôler le remplacement des points lumineux.
On pense aussi au « dimming », une technologie qui consiste à baisser le flux lumineux des lampes, en réduisant la tension d’alimentation aux heures de faible fréquentation. Dans le même ordre d’idée, les détecteurs de mouvement permettent aux lampadaires de s’allumer uniquement lorsqu’il y a du passage et donc de réaliser des économies d’énergie. Les lampadaires auto-alimentés par une éolienne ou un panneau photovoltaïque représentent également une solution innovante.
En matière d’innovation, les LED (Light Emmiting Diode ou Diodes Electro Luminescentes) représentent une solution technologique au rendement très élevé. A puissance lumineuse égale, les LED consomment ainsi dix fois moins que les ampoules classiques à incandescence, et durent de 12 à 15 fois plus longtemps. Intégrer les LED dans l’éclairage public permettrait ainsi d’économiser jusqu’à 70% d’énergie par rapport aux lampes à vapeur de mercure.
Grâce à l’horloge astronomique, les collectivités territoriales peuvent aussi optimiser la durée de fonctionnement de leur éclairage, en programmant l’allumage et l’extinction des points lumineux aux moments les plus opportuns… et réduire leur consommation annuelle de 5%. Un régulateur/variateur de tension leur permet également de réduire de 25% à 35% leur consommation d’énergie par rapport à un éclairage en fonctionnement permanent, tout en augmentant la longévité des lampes.
Dans les territoires insulaires, l’éclairage public bouge
Les communes de France adoptent ces nouvelles solutions, particulièrement celles qui se trouvent dans les territoires insulaires. Ainsi, l’île de Sein, dans le Finistère, est passée à l’éclairage public 100% LED – une première nationale. Sa consommation énergétique est ainsi divisée par six, les 88 nouveaux points lumineux fournissant aux rues une lumière chaude, agréable, mettant en valeur le patrimoine bâti. Un système de télégestion permet aussi de moduler la puissance de l’éclairage public en fonction des besoins. « Nous trouvons sur l’île de Sein, avec l’intelligence du réseau électrique, l’ébauche de la révolution de demain », s’enthousiasme Dominique Ramard, vice-président du Conseil régional breton.
A la Martinique, de nouvelles ampoules ont été installées sur la plage du Carbet, en février 2016, des ampoules qui consomment 50% de moins qu’une ampoule au sodium classique et qui pourraient faire réaliser jusqu’à 75% d’économies sur la facture de la municipalité. « 90 000 euros ! C’est le montant de la facture d’électricité de ma commune…ces ampoules sont les bienvenues », s’est félicité le maire du Carbet, Jean-Claude Ecanvil.
Depuis 2016, EDF SEI a également commencé les tests d’Indicateurs lumineux de défaut (IDL) en Corse et sur l’île de la Réunion. L’idée est de rendre les IDL communicants, afin de connaître, à distance, leur état. L’enjeu : parvenir à mettre en place des moyens de télécommunications fiables et peu coûteux, afin d’améliorer durablement la qualité de fourniture des clients situés en zone insulaire.
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Huiles essentielles : découvrez le ravintsara et ses bienfaits

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De plus en plus de français vantent les vertus des huiles essentielles pour un usage quotidien. En diffusion, inhalation, massages ou parfois même en ingestion, certaines essences, comme la lavande ou l’eucalyptus, sont plébiscitées. A Albi, une boutique aide même des patients atteints de Covid-19 à retrouver l’odorat grâce à l’aromathérapie ! Huile essentielle phare des connaisseurs, le ravintsara reste relativement méconnu du grand public. Zoom sur cette plante complète et familiale. 

Mais d’où viennent les huiles essentielles de Ravintsara ?

Importé de Chine, le ravintsara est un arbre qui pousse aujourd’hui principalement sur l’île de Madagascar. Bien que faisant partie de la famille des camphriers, vous ne trouverez pas de camphre dans l’huile essentielle de ravintsara ! Attention également à ne pas le confondre avec le ravensare aromatique, lui aussi présent sur les terres malgaches. Ce dernier fait partie de la famille des lauracées et ses indications sont très différentes.

Obtenue par distillation des feuilles fraîches à la vapeur, la teneur en eucalyptol est élevée avec l’huile essentielle de ravintsara. Ceci lui confère donc une odeur agréable, fraîche et légèrement épicée.

Ravintsara indication : dans quelles circonstances utiliser cette huile essentielle ?

Comme pour beaucoup d’huiles essentielles, l’essence de ravintsara possède de nombreux atouts et peut être utilisée pour vous aider dans différents domaines.

L’huile essentielle de ravintsara et les affections respiratoires

Le ravintsara est reconnu pour ses qualités anti-infectieuses, antivirales et tonifiantes. L’huile essentielle de ravintsara est ainsi le plus souvent indiquée pour aider à soulager les affections respiratoires telles que la grippe, la bronchite ou les rhinopharyngites. Considéré comme un antibiotique naturel, le ravintsara possède des propriétés fluidifiantes et expectorantes, particulièrement conseillée dans les toux sèches. Il est également préconisé pour stimuler les défenses immunitaires et renforcer l’organisme contre les maux de l’hiver.

Les autres indications du ravintsara

Également antispasmodique, l’huile essentielle de ravintsara peut aider à soulager certaines douleurs intestinales et favorise la décontraction musculaire. Toutefois, c’est aussi pour ses bienfaits sur le tonus et l’équilibre nerveux que cette plante est souvent conseillée. Soutien contre la fatigue et les moments de déprime, le ravintsara peut aider à l’endormissement grâce à ses vertus anti-stress, et devenir un ami précieux dans l’insomnie et les troubles du sommeil.

Utilisations et précautions d’emploi de l’huile essentielle de ravintsara

Si elles sont réputées pour leur efficacité, certaines huiles essentielles sont à manier avec précaution. Des articles de presse viennent régulièrement mettre en garde contre des effets indésirables, ou même des dangers avec les sprays et les diffuseurs par exemple. Alors, qu’en est-il de l’huile essentielle de ravintsara ?

Ravintsara et grossesse : évidemment déconseillé

L’usage de l’huile essentielle de ravintsara est familial. Cela veut dire qu’il peut être utilisé pour tous à partir de 3 ans. Deux contre-indications de taille sont à noter toutefois : le ravintsara est interdit pour les personnes sous traitement immunosuppresseur, et il est également proscrit pour les femmes enceintes. Après la grossesse, il est aussi conseillé aux femmes allaitantes de demander un avis à leur médecin avant d’utiliser cette huile essentielle.

Comment utiliser les huiles essentielles de ravintsara ?

Selon le but recherché, il est possible d’utiliser les huiles essentielles en diffusion, en inhalation, par voie cutanée ou par voie interne. Certaines essences peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont ingérées. Ce n’est pas le cas du ravintsara. Avec cette plante, tous les modes d’utilisation sont possibles sans danger, dès lors que les restrictions évoquées précédemment sont respectées. 

Une ou deux gouttes sous la langue, massage ou diffusion en synergie, inhalation par vapeur ou sur un mouchoir : tout est possible avec l’huile essentielle de ravintsara. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un spécialiste en aromathérapie pour déterminer les usages les plus efficaces par rapport à votre problématique.

Devenez imbattable sur toutes les huiles essentielles après le ravintsara

Vous avez découvert l’huile essentielle de ravintsara et ses multiples avantages. Découvrez l’aromathérapie dans son ensemble et déclinez les huiles essentielles en des synergies qui vous ressemblent. Cela pourrait bien changer votre vie.

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Sommeil : nos conseils pour s’endormir facilement et rapidement

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Identifier la cause de ses problèmes de sommeil n’est pas toujours chose aisée. En effet, les raisons d’un mauvais sommeil sont diverses et peuvent être d’origine psychologique, physiologique ou environnementale. Parmi elles, le stress, une alimentation déséquilibrée, des excès de caféine ou d’alcool, l’utilisation d’écrans au coucher, ou encore un environnement peu propice au sommeil (bruit, chaleur, luminosité, mauvaise literie) etc. Mettre le doigt sur les sources de vos troubles du sommeil vous permettra de trouver des solutions adaptées. 

 

Prendre conscience de son rythme circadien 

 

Nous possédons tous une horloge interne de sommeil, appelée rythme circadien, qui influence notre sensation de fatigue. C’est un rythme qui est défini par l’alternance entre la veille, qui correspond à la période de la journée où l’on est éveillé, et le sommeil. Le décalage horaire ou encore un endormissement et un réveil à des heures différentes perturbent fréquemment les rythmes habituels de sommeil et de veille.

Il convient de se coucher tous les soirs à peu près à la même heure pour permettre à son rythme circadien de programmer cette heure de manière interne. Pratiquer une activité physique pendant la journée est également conseillé pour améliorer la qualité de votre sommeil. Toutefois, un entraînement trop intensif, notamment en fin de journée, peut provoquer des problèmes à l’endormissement.

 

Améliorer sa literie 

 

Vous dormez sur un matelas qui commence à vieillir ou utilisez un oreiller devenu difforme avec le temps ? Une literie usée peut engendrer des troubles du sommeil non négligeables, en plus de problèmes de santé, notamment des maux de dos.

Il est peut-être temps d’opter pour une literie de meilleure qualité ! De plus en plus de marques développent des technologies avancées qui promettent une expérience de sommeil optimale. Ainsi, les matelas Emma offrent une adaptabilité maximale, grâce à une technologie de mousse qui propose plusieurs zones de confort et qui convient donc à toutes les morphologies.

 

Contrer le stress

 

Si c’est le stress qui vous empêche d’avoir un sommeil digne de ce nom, alors il va vous falloir trouver les méthodes qui vous permettront de le gérer au mieux. Il existe une foule de techniques à essayer, telles que l’aromathérapie, la méditation, l’ASMR, la lecture, l’écriture, s’endormir avec de la musique… S’accorder entre 30 minutes et 1 heure de relaxation avant de se coucher peut avoir de formidables résultats. Votre corps et votre esprit s’en trouveront détendus avant même que votre tête ne touche l’oreiller.

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Assurance habitation : nos conseils pour bien faire votre choix

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L’assurance habitation est primordiale afin de protéger votre logement et vos biens en cas de sinistre, mais aussi les membres de votre foyer. Véritable garantie pour faire face aux aléas de la vie, elle permet de se prémunir contre les préjudices. Découvrez nos conseils afin de choisir l’assurance habitation la plus adaptée à votre situation, qui vous assurera une sérénité garantie.

Assurance habitation : une obligation ?

Vous êtes locataire ? Vous avez l’obligation de souscrire à une assurance habitation auprès d’un assureur comme Groupama par exemple. Vous êtes copropriétaire occupant ou non occupant de votre logement et vous le louez ? Il est obligatoire dans ce cas, d’assurer à minima sa responsabilité civile pour pouvoir être couvert des éventuels dommages causés aux autres. Ne pas être assuré, c’est prendre le risque de devoir assumer seul l’entière responsabilité financière des sinistres causés par soi-même ou par le logement lui-même.

Evaluez rigoureusement vos besoins 

Afin d’opter pour une assurance habitation adaptée, il convient de prendre en compte plusieurs critères : la composition de votre foyer, vos besoins spécifiques, votre situation (propriétaire ou locataire)… Pour qu’elle vous protège au mieux, une assurance habitation doit pouvoir compenser la dégradation, le vol ou la destruction de vos biens en cas de sinistre.

Estimez la valeur de vos biens de façon précise

Pour qu’ils soient couverts à leur juste valeur, il est important d’évaluer avec justesse la valeur de vos biens mobiliers. Cela concerne l’ensemble des objets personnels qui se trouvent dans votre logement : meubles, électroménager, équipements technologiques ou encore vêtements ou sacs à main… A noter qu’il vaut mieux surestimer et être bien couvert, plutôt que de minimiser afin d’obtenir une prime moins chère. Petit conseil supplémentaire : conservez les justificatifs d’achat et des photos de vos biens en cas de sinistre.

Comptabilisez les pièces de votre logement

Certains contrats considèrent comme pièce une surface de plus de 7m2 quand d’autres exigent plus de 9m2. Cuisine, salle de bains, toilettes, entrée et terrasse ne sont pas comptabilisées, à la différence des combles transformés en mezzanine ou en pièces à vivre. En outre, selon les contrats, une pièce de plus de 30 ou 40 m2 peut être considérée comme constituant 2 pièces.

Forts de ces conseils, il ne vous reste plus qu’à demander et à comparer des devis d’assurances habitation de différents acteurs de référence du marché comme Groupama, par exemple. 

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