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Imprimer une maison entière en 3D, c’est possible
« The WinSun Decoration Design Engineering Company ». Le nom de cette société chinoise ne dit encore rien à personne, mais il n’est pas impossible que cela change d’ici quelques années. Car cette société chinoise a choisi de tout miser sur le créneau des imprimantes 3D. Ces imprimantes sont capables de fabriquer des objets qui ont été préalablement modélisés sur un logiciel informatique. On parle là d’objets usuels (des bols, des figurines de décoration, etc…) ou même d’objets à portée médicale (des prothèses notamment. Seulement voilà, de par leur taille, les imprimantes 3D ont des capacités de construction limitées.
Notre entreprise chinoise, elle, voit les choses en grand. Elle se dit que si une petite imprimante est capable de fabriquer une casserole, alors une grande imprimante doit pouvoir fabriquer quelque chose de beaucoup, beaucoup plus imposant. Une maison, par exemple. Pour cela, l’entreprise s’est dotée d’une imprimante 3D aux dimensions gigantesques : 150 mètres de long, 10 mètres de large et 6 mètres de haut.
La machine permet non pas de construire une maison d’un seul tenant mais d’en fabriquer séparément tous les éléments qui ne demanderont plus ensuite qu’à être assemblés. Le principe est simple : les éléments sont fabriqués couche par couche. L’imprimante pose d’abord une première couche au sol de quelques centimètres de haut de l’élément demandé. Pour un mur, imaginons par exemple un rectangle de 7 mètres de long et de 20 centimètres de large.
Puis, l’imprimante 3D grâce à ses rails et son bras articulé, passe aux mêmes endroits, encore et encore, le faisant monter de quelques centimètres à chaque passage, pour finalement aboutir à une cloison complète de 2,50 mètres de hauteur. Le procédé est ensuite répété pour chaque composante de la maison, qui iront ensuite être assemblées sur un chantier, et complétées par d’autres indispensables de la construction : fenêtres, toit, etc… L’entreprise a dévoilé récemment avoir réussi à « imprimer » 10 maisons en 24 heures, rien que ça.
Mais au fait, à partir de quel matériau imprime-t-on des maisons en Chine ? Les dirigeants de l’entreprise concernée veulent se servir des déchets de construction chinois, dans un pays en chantier permanent. Récupérés sur les chantiers de démolition ou de construction, les déchets seront retraités par notre société pour servir de matériau de construction qui alimentera leur imprimante 3D géante.
Pour, au final, obtenir des maisons dont le coût d’impression ne dépassera pas les 4000 euros. Ecologique et économique, donc. Seriez-vous prêts à vivre dans une maison « imprimée » ?
Photo : osde8info/Flickr/CC
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Un jeu d’enfant en hêtre non traité
Né du désir de voir sa fille s’amuser dans son atelier, Thomas Blanchard, menuisier à Bretteville-sur-Dives (dans le Calvados) conçoit, taille et découpe toutes les pièces du jeu de construction et d’assemblage « Truc En Bois ».
Mû par la volonté de challenger ce XXIème siècle qui semble vouloir coller les enfants aux écrans, il est allé chercher son matériaux de base en Mayenne, dans des forêts certifiée PEFC.
Ces forêts sont gérées durablement notamment pour respecter et maintenir leur biodiversité, leurs sols et leurs eaux. Mais aussi pour s’assurer qu’elles se renouvellent et que leur état sanitaire est bon… Elles sont des ressources en bois, des lieux de promenade et de loisirs, mais surtout les ces forêts sont des puits de carbone !
Il y a trouvé le hêtre, bois dur et extrêmement résistant. Le bois le plus indiqué pour fabriquer un jeu de construction à destination des enfants. Thomas utilise du hêtre non traité dont le caractère unique de chacune des pièces est assurée par leur veinure et leur couleur. C’est ainsi que les ils vont, inconsciemment et naturellement jouer avec cette magnifique matière vivante et recyclable qu’est le bois.
Et pour qu’ils aient un maximum de plaisir à s’amuser, l’artisan a conçu des pièces de formes variées qui s’emboitent librement les unes aux autres. Avec elles, les enfants expriment leur créativité en 3 dimensions et dans le monde réel.
Le jeu de construction est très simple et accessible. Ses pièces sont robustes et sans danger pour les plus petits. Tous peuvent reproduire les modèles proposés dans les fascicules mais tous s’en éloigneront très vite pour bâtir leurs propres oeuvres. Ils développeront ainsi leur imaginaire et apprendront sans s’en rendre compte, en s’amusant.
Truc En Bois participe au développement intellectuel et cognitif des enfants. La créativité dont ils feront preuve leur permettra de se familiariser notamment aux notions :
- d’emboitement,
- d’équilibre
- et de la gravité.
L’enfant qui imagine sa construction va réfléchir, puis il procédera par essais, et apprendra de ses erreurs, notamment face à l’implacable loi de la gravité. L’écroulement tonitruant marquant la victoire de la gravité et pour l’enfant revêtira tantôt la joie, tantôt le désarroi.
Une fois bien équilibrée, les œuvres réalisées tiennent par elles-mêmes. Les pièces s’ajustent parfaitement les unes ou autres et se démontent avec autant de facilité qu’elles furent assemblées. Pour les parents qui souhaiteraient figer l’œuvre originale réalisée, une goutte de colle à bois suffira. Ce jeu de construction artisanal est à destination des familles, mais aussi des écoles. Car ses vertus pédagogiques et ludiques en font un formidable outil d’apprentissage qui, lorsqu’il est joué en groupe, favorise et développe les échanges. L’ingéniosité et la curiosité des enfants seront leurs seules limites.
Quatre boites sont proposées à la vente. La première boite, celle qui permet de découvrir les possibilités infinies du jeu comporte 120 pièces de bois est proposé à la vente pour 59€ TTC. Deux autres boites permettent d’augmenter le nombre de pièces et donc la taille des créations. La quatrième boite mets à disposition plus de 500 pièces pour jouer à 6/8 enfants.
Ce jeu de construction artisanal et fabriqué en Normandie est malin et évolutif : il libère la créativité et permet de réduire la dépendance aux écrans ! Et il est accessible dès 3 ans.
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Le vélo électrique s’empare du milieu urbain.
Parcourir une ville à bicyclette est une chose, mais le faire en conduisant un vélo électrique c’est pédaler et se déplacer de manière totalement différente. Il s’agit d’un véhicule similaire aux bicyclettes traditionnelles, mais avec l’ajout d’un moteur électrique qui contribue à l’effort pendant le parcours du cycliste. Ce type de transport représente une alternative pour celles et ceux qui désirent se déplacer en ville ou effectuer des activités de loisirs. Son usage gagne les espaces pour diverses raisons, dont les aspects économique, écologiques et récréatifs. Le moteur du vélo ne fonctionne pas si le cycliste ne pédale pas. C’est-à-dire que la bicyclette ne remplace pas le pédalage, elle l’assiste seulement.
Le modèle le plus demandé est celui qui vient équipé d’un capteur dans les pédales. Ce dispositif a pour fonction de détecter la force qu’emploie le cycliste pour lui fournir une aide proportionnelle à son effort. En cas de freinage ou une fois arrivé à une certaine vitesse, le moteur s’arrête automatiquement, sans pour autant empêcher le pédalage. L’unité est équipée d’une batterie qui sert réserve d’énergie pour la mise en mouvement.
L’autonomie dépend du modèle que l’on souhaite acquérir, mais cela oscille entre 25 et 70 kilomètres dans la grande majorité des cas. Pour recharger, il faut connecter la batterie au réseau électrique domestique par le biais d’un chargeur. Elle a une vie utile de 2 ans de moyenne pour un usage quotidien.
Assistance au cycliste
Selon la législation européenne, on considère comme vélo à assistance électrique tout véhicule qui réponde à 3 conditions requises. Celles-ci mentionnent que l’unité de propulsion ne doit fournir la dite assistance uniquement lorsqu’on pédale. La présence d’un accélérateur est possible, mais il ne doit avoir effet que lorsqu’on pédale également. De plus, le moteur doit arrêter de fonctionner une fois les 25 km/h atteints. Enfin, le dernier critère est lié à la puissance nominale, qui ne doit pas excéder les 250W. Les deux-roues qui ne répondent pas à ces conditions seront considérés comme des cyclomoteurs électriques, qui nécessitent un permis et une assurance obligatoire.
L’utilisation des V.A.E. devient intéressante pour celles et ceux qui souhaitent réaliser des trajets fréquents en ville, en tant qu’alternative populaire aux voitures qui fonctionnent à l’essence ou tout autre type de carburant d’origine fossile. Leur principale caractéristique est qu’ils fournissent une assistance au cycliste pendant le trajet, en particulier dans des lieux ou le parcours est complexe par les conditions de relief, de vent ou de température, et qui demandent une aide supplémentaire pour pouvoir continuer à évoluer. L’assistance électrique peut être activée lorsque l’usager en a besoin, comme gravir une côte ou en cas de fatigue. Le poids du vélo ne devrait pas dépasser les 40 kilos.
Un autre avantage est qu’il en existe aussi des pliants, ce qui représente un avantage en ville lorsqu’on cherche un endroit pour le « garer ». Selon une article publié sur Midilibre.fr, la popularité des vélos électriques s’est étendue à toute l’Europe en grande partie pour leur efficacité pour profiter pleinement du cœur des villes. « Et c’est que nous pouvons l’emmener partout avec nous, quand nous en avons marre nous pouvons prendre le bus, le métro ou le taxi et la positionner à nos côtés sur le siège et elle n’occupera pas plus de place qu’une autre personne » informe le journal.
Modèles disponibles
La classification des vélos électriques peut se faire en deux grandes familles, en se basant sur les caractéristiques de leur moteur ou du kit installé. Il y a donc d’une part les vélos à pédalage assisté, également connus sous le nom de Pédélec, et les cyclomoteurs électriques d’autres part, dont font partie les speed-bikes ou S-Pédélecs.
Les e-bikes peuvent également se différencier selon l’usage que l’on va en faire. On mentionnera ici les modèles de route, ceux fabriqués pour le tourisme ou la promenade urbaine, les modèles de luxe, les tout-terrains, les pliants, les vélos de ville et les tricycles électriques cargo.
Sur le marché existent divers fabricants qui recherchent la meilleure manière de capter de nouveaux utilisateurs pour leur produits. Ces entreprises investissent de grandes sommes d’argent pour améliorer la conception, la puissance et les batteries.
La massification des vélos électriques a atteint un tel niveau qu’il existe déjà différents événements spécifiquement dédiés à ces vélos à batterie, ce qui est parlant concernant leur large commercialisation dans les divers pays européens. Un de ces événements est le fameux E-bike days, qui a lieu depuis l’an dernier et qui est sponsorisé par les fabricants eux-mêmes. Il est organisé deux fois par an afin entre autres de promouvoir l’emploi de véhicules respectueux de la nature et de minimiser les trajets en voitures à moteurs thermiques.
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La mode éthique et éco-responsable selon TheFrenchKiss
La French touch et la mode éthique, deux termes forts et indissociables pour TheFrenchKiss qui vient de lancer sa nouvelle campagne de mode mettant en avant la mode éco-responsable. Le Kiss, l’emblème de la marque frenchy se retrouve ainsi dans cette nouvelle collection aussi bien sur des pièces unisexes que sur des modèles pour hommes et pour femmes. A découvrir !
Une marque respectueuse de l’environnement
Top dos nu pour femmes, t-shirts unisexes à manches longues et à manches courtes, Marcel, bodies, polo, jogging, sous-vêtements, bonnet, lunettes de soleil : la collection de la marque hype TheFrenchKiss propose de redécouvrir des basiques du dressing et quelques accessoires intemporels revus à la sauce frenchy. Chaque pièce est apposée du Kiss, emblème de la marque, qui se décline ici dans un rouge passion, un PopArt multicolore et un camouflage avec un petit côté androgyne-chic.
TheFrenchKiss se démarque de ses concurrents par son positionnement promouvant l’économie locale (toute la fabrication est Made in France) mais aussi et surtout, pour le choix de ses matières premières. Coton bio, bambou, lin, modal, bois : les fibres sélectionnées sont végétales et naturelles, traitées avec des teintures labellisées Œko-Tex, connues pour leur faible impact écologique.
La campagne Ulule
Tout a été pensé pour que les pièces promettent un bon niveau de confort et de douceur tout en répondant à des critères éthiques stricts. Dans le cadre du développement de son activité, TheFrenchKiss s’est engagé avec Ulule, le site web de financement participatif, dans l’objectif de réunir 10 000€ pour lancer la confection Made in France de nouvelles pièces de vêtements, de sous-vêtements et d’accessoires. La marque frenchy a également besoin de cet investissement pour parfaire son développement commercial et communicationnel et lancer, dans la foulée, l’ouverture de ses boutiques à Paris.
Si elle atteint plus alors, TheFrenchKiss espère également étendre sa ligne de vêtements éthiques et eco-responsables avec la création de chemises en jeans recyclés, de vestes en cuir d’ananas, de sweats en coton biologique, de casquettes et de chaussettes. Bref, l’aventure ne fait que commencer pour cette marque éthique!