Santé
Dépistage des troubles nerveux et rééducation du système nerveux
Santé
Méthode fondatrice des Centres CeREN ® la méthode G. Quertant permet par l’intermédiaire de tests de vision de dépister de façon rigoureuse des troubles nerveux et de mettre en place un programme de rééducation du système nerveux.
La culture psychosensorielle (CPS ®), ou neuropédagogie, est une méthode scientifique mise au point par le Français Georges Quertant après plus de 25 années de recherche et d’expérimentation. Elle utilise la fonction visuelle pour détecter et supprimer la plupart des troubles nerveux fonctionnels. Elle est développée et appliquée dans les Centres de rétablissement de l’équilibre nerveux (CeREN ®). Georges Quertant fut décoré de la légion d’honneur en 1952 pour l’ensemble de ses découvertes et sa méthode reconnue par les pouvoirs publics.
L’équilibre nerveux
L’équilibre nerveux est une des composantes fondamentales d’une vie sereine et épanouie. Toute la vie d’un sujet est conditionnée par le bon fonctionnement de son système nerveux. L’être humain bénéficie de capacités mentales exceptionnelles : conscience de soi, pensée, abstraction, logique, esprit de synthèse… Ces activités dites conscientes et volontaires ont pour siège la partie haute du cerveau appelée néocortex. Malheureusement, notre volonté a peu d’influence sur notre équilibre nerveux. Nous ne sommes pas équilibrés nerveusement parce que nous l’avons décidé ! Notre intelligence, nos connaissances ne nous garantissent pas l’harmonie et la paix intérieures ! Or cet équilibre, auquel nous aspirons tous, repose sur des centres nerveux de très haute précision situés à la base du cerveau (hypothalamus, hypophyse, formation réticulée…).
Cette base du cerveau ou mésendiencéphale est d’une importance considérable car elle contrôle le fonctionnement involontaire de tout l’organisme et régule nos trois modes de vie ou systèmes :
comportement, jugement…
Georges Quertant (1894 -1964)
Né à Digne en 1894 Georges Quertant se consacre dès 1910 à la musique.D’abord professeur de piano et de musicologie,il devient très vite chef d’orchestre et directeur artistique de l ‘« association Beethoven » de cannes.Auteur et compositeur,il à également dirigé plus de 300 concerts et fait plus de mille répétitions d’orchestre.
Parallèlement à ses activités artistiques et pédagogiques, après des années d’études, de recherches et d’expérimentations, Georges QUERTANT créait et mettait au point des techniques, des appareils et des méthodes réalisant la « Neuro-somato-psycho-biométrie » et la « Neuro-somato-psycho-pédagogie » constituant la « Culture Psycho-Sensorielle».
Parmi les tout premiers à utiliser les ondes neuro-bio-électriques dans le domaine pratique, il fut ainsi un précurseur dans la réalisation des techniques de l’ « Electrencéphalographie ». En créant et réalisant dès 1930 la « Neuro-bio-mécanique », il apparut comme un véritable pionnier de la « Cybernétique », science nouvelle qui, à présent, groupe mathématiciens, physiciens et physiologistes les plus célèbres de notre temps.
En 1942 et en 1946, après enquêtes très sérieuses et sévères effectuées par des spécialistes compétents, les Pouvoirs publics reconnurent le bien-fondé scientifique et la valeur des procédés neuro-somato-psycho-pédagogiques de la « Culture psycho-sensorielle ».
Diffusés en France et à l’étranger, ces travaux ont valu à Georges QUERTANT de très bonnes appréciations du monde médical, scientifique et pédagogique.
La Légion d’Honneur lui fût decernée en 1952, afin de récompenser ses travaux et ses qualités d’homme.
Comme toute horloge mécanique ou biologique, les centres nerveux de la base du cerveau sont susceptibles de se dérégler par prédisposition héréditaire, surmenage, chocs émotionnels ou physiques. Nos centres nerveux souffrent également des agressions répétées que le monde moderne lui fait subir.
Dès ses premières recherches, Georges Quertant avait émis la thèse, largement confirmée par les toutes dernières découvertes de la neurophysiologie, que le dérèglement des centres nerveux régulateurs était à l’origine de la plupart des troubles nerveux fonctionnels, avec effet direct sur nos trois modes de vie cités plus haut et apparition de symptômes ayant une triple expression : sensorielle, végétative, psychique.
Les troubles nerveux fonctionnels
Ils peuvent être eux aussi classés en trois catégories :
Supprimer ce dérèglement et rétablir l’équilibre nerveux
Georges Quertant a mis en évidence le lien direct entre le bon fonctionnement du système nerveux central et le bon fonctionnement de la vision (vision binoculaire, quand les deux yeux voient le même objet, et vision simultanée, quand les deux yeux voient chacun un objet différent). L’œil est un véritable prolongement du cerveau. Les mouvements rotatoires de l’œil, de par leur finesse de mouvement (de 1 cm à 0,008 mm), sont de fidèles traducteurs de l’activité nerveuse et par voie de conséquence un indicateur précis du bon fonctionnement des centres nerveux régulateurs de la base du cerveau. A partir de cette découverte, Georges Quertant a mis au point, dans une finalité à la fois thérapeutique et pédagogique, une méthode de neurophysiologie appliquée, la Culture psychosensorielle (CPS ®). Utilisée avec succès depuis 60 ans, elle se déroule en deux phases : le dépistage et la rééducation.
Le dépistage
Le dépistage ((neuro somato psycho biométrie) permet de mesurer de manière fine et objective le dérèglement des centres nerveux régulateurs de la base du cerveau et des troubles fonctionnels qui lui sont associés. Ce déséquilibre nerveux fut appelé nervosisme (1) par Georges Quertant.
Pour mesurer le taux de nervosisme, il perfectionna un ensemble de huit appareils d’optique inspirés du diploscope (2) de Rémy. Ces appareils, d’une très grande précision, utilisent des images tests permettant de mesurer plus de 6 000 mouvements de l’œil donc d’étudier plus de 6 000 fonctions des centres nerveux de la base du cerveau commandant ces mouvements. La construction de ces images repose sur des lois physiques et mathématiques notamment les lois d’Haüy (3). Il s’agit des formes et des excitants naturels de la cellule nerveuse (couleurs pigmentaires, couleurs spectrales, noir sur blanc).
Lors du dépistage, une trentaine de ces tests sont soumis au sujet. Plusieurs cas de figure peuvent se présenter :
A la Une
Tous ces défauts sont significatifs des erreurs du débit d’énergie nerveuse commandant la motricité oculaire et donc du dérèglement des centres nerveux de la base du cerveau.
Suite au passage du sujet sur les appareils, une analyse très poussée est effectuée, prenant en compte l’amplitude de déformation de chaque image ainsi que son sens de déformation. Il est alors possible de décrire de manière objective et précise le degré de dysfonctionnement et de déséquilibre nerveux du sujet, les différents symptômes dont il souffre et proportionnellement le gain qu’il pourra obtenir par la rééducation.
La rééducation
La rééducation (neuro somato psycho pédagogie), ou training, utilise les mêmes appareils et images-tests afin de corriger le dysfonctionnement des centres nerveux régulateurs, rétablir l’équilibre nerveux et supprimer la plupart des troubles fonctionnels.
La méthode utilisée consiste à apprendre au sujet à percevoir l’image réelle sans déformation. A chaque fois qu’il y parvient, une image plus complexe lui est présentée. Ainsi, plus il progresse, plus les circuits nerveux de la base de son cerveau se « reconnectent » et retrouvent leur capacité fonctionnelle. Lorsque le sujet est capable de voir toutes les images tests pendant une demi-heure de manière parfaitement stable, sans déformation ni disparition, il n’y a plus de dérèglement de la vision (binoculaire et simultanée) et par conséquent plus de dérèglement des centres nerveux de la base du cerveau. L’équilibre nerveux est rétabli, l’individu retrouve son plein potentiel, les symptômes dont il souffre disparaissent et ce dans 90 % des cas. Il s’agit d’un retour à l’équilibre neurophysiologique naturel, ce qui explique qu’il n’y ait pas de troubles secondaires. Les résultats sont généralement acquis à vie.
La vision : miroir de notre équilibre nerveux
Selon la distance de vision, les excitants et les appareils utilisés, la CPS ® aura une action sur différentes zones du système nerveux central :
Le type de dérèglement présenté par le sujet sur chaque distance permet d’établir un lien précis entre l’état des centres nerveux concernés et les symptômes déclarés ou latents dont il peut souffrir.
Exemples
• Un sujet se plaint d’un état dépressif important, d’une incapacité à se concentrer et d’insomnie. Le dépistage indique entre autres une hypo réaction maximale en vision de près. Ce résultat est significatif d’une baisse importante de l’activation du système réticulaire et une déprime de la zone hypothalamique. Il existe bien ici une corrélation étroite entre les symptômes et les centres nerveux concernés. La rééquilibration hypothalamique et réticulaire pouvant être obtenue par la rééducation nous indique une élimination probable des troubles.
• Un sujet se plaint de crises de panique avec palpitations cardiaques, vertiges, sueurs. Le dépistage indique une très grosse instabilité par hyper réaction et hypo réaction en vision intermédiaire significative d’une dérégulation importante des systèmes ortho et parasympathique. La rééquilibration de ces deux systèmes entraînera progressivement une atténuation puis une disparition complète des troubles.
La CPS ® aujourd’hui
De plus en plus de sujets souffrent de troubles fonctionnels nerveux. La médecine et les diverses psychothérapies peuvent certes soulager ces personnes, mais ne les libèrent pas totalement de leurs symptômes. De plus en plus de sujets présentent sur les tests des inhibitions et ce dans des proportions considérables (le système nerveux interrompt l’information avant qu’elle atteigne le cerveau et l’image disparaît aux yeux du sujet).
Ce phénomène peut être attribué à la dégradation des conditions environnementales (pollutions chimique, sonore, électromagnétique). Cette dernière étant probablement la plus nocive lorsque l’on sait que seuls les excitants naturels de l’environnement sont reconnus par nos cellules et donc bénéfiques.
De nombreuses personnes constatent en cours de rééducation la résurgence provisoire puis l’élimination de « traumatismes » anciens se manifestant sous la forme d’affects, images mentales, douleurs somatiques variées. La rééducation oculomotrice de Georges Quertant permet non seulement au système nerveux de créer, stabiliser et maintenir son propre équilibre (homéostasie) mais elle agit également comme un grand « nettoyage » de nos circuits nerveux.
La CPS ® Quertant est donc plus que jamais d’actualité dans le contexte d’une civilisation moderne qui néglige les besoins biologiques.
Pour toutes ces raisons, ont été créés des centres de rétablissement de l’équilibre nerveux (CeREN®), destinés à la recherche, au développement et à l’application de la CPS ®. Véritable pédagogie nerveuse, elle permet à l’enfant comme à l’adulte d’utiliser 100 % de son potentiel sensoriel, intellectuel et psychique et surtout d’accéder à la santé naturelle qui vient en grande partie de l’équilibre nerveux.
Pour contacter l’auteur s’adresser à :
CeREN® Montparnasse
14, rue Littré – 75006 Paris
tél. : 01.69.30.19.19 / 01 45 44 66 65 – santeceren@gmail.com – www.equilibrenerveux.com
Autres praticiens, contacter l’auteur
1. Nervosisme : ensemble de troubles strictement fonctionnels d’origine nerveuse, alors que les organes sont sains et parfaitement constitués.
2. Le diploscope, appareil qui a beaucoup apporté à l’ophtalmologie, a été inventé par le docteur Albert Rémy.
3. René-Just Haüy (1743-1822) est un minéralogiste, membre de l’Académie des sciences et créateur de la cristallographie.
4. Centre régulateur non spécifique jouant notamment un rôle dans la régulation de la vigilance et du sommeil.
5. Centre nerveux impliqué dans la régulation de la vie végétative et des états émotionnels et affectifs.
6. Partie du système nerveux autonome.
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Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
A la Une
Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)
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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?