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Compensation carbone et biogaz, qu’est ce que le gaz vert?

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L’objectif français de 23% d’énergie renouvelable (EnR) en 2020, défini à travers les lois Grenelle et le Plan National d’Action (PNA) en faveur des EnR, se matérialise notamment par un programme ambitieux de développement du gaz naturel “vert”, ou biogaz. L’essor de ce gaz renouvelable est ainsi activement soutenu par la politique énergétique française même si, pour l’heure, aucune offre n’est disponible sur le marché.

Le gaz vert, un combustible propre et disponible

Contrairement au gaz naturel qui est extrait de gisements d’hydrocarbure, le gaz vert est une énergie renouvelable, c’est à dire qu’elle provient de sources renouvelées en permanence par la nature. En effet, le biogaz se produit spontanément lors de la fermentation de biomasse dans les marais ou dans les décharges naturelles.

Mais ce combustible peut également être créé industriellement par la transformation de biodéchets (fumier, ordures ménagères biodégradables etc) via des procédés de méthanisation opérés dans des digesteurs. Ce gaz propre peut donc être valorisé de différentes façons comme ressource énergétique exploitable. Ainsi, ce combustible est utilisé comme carburant pour les véhicules (c’est le GNV, gaz naturel pour véhicule), concourant ainsi à limiter les émissions de gaz à effets de serre dans l’atmosphère.

Surtout, le gaz vert peut être utilisé pour émettre de la chaleur et/ou de l’électricité. Ainsi, d’après l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), la quantité d’énergie primaire du biogaz valorisée sous forme électrique peut atteindre les 35% dans les systèmes de cogénération et jusqu’à 85% en tenant compte de la récupération de la chaleur produite par le module de cogénération!

Une énergie renouvelable en pleine expansion

D’après les estimations du site cairn.info, en 2011 la production d’électricité et de chaleur issue du biogaz correspondait à 0,4% de la consommation totale de gaz. La marge de progression de cette nouvelle source énergétique est donc grande.

Il n’existe d’ailleurs pas à ce jour d’offres de gaz naturel vert car la quantité de biogaz injectée dans les réseaux de distribution de gaz naturel est, pour l’heure, trop faible. En effet, la composition du biogaz (quantité de méthane insuffisante et présence de particules d’eau) ne lui permet pas d’être intégrée tel quel dans le réseau de distribution de GrDF. Ce n’est qu’après un procédé d’épuration et sa transformation en biométhane qu’il peut être mélangé sans risque avec le gaz naturel. Ces processus encore complexes et coûteux sont néanmoins amenés à évoluer rapidement, et des offres de gaz vert, à l’instar des offres d’électricité vertes, peuvent donc être espérées dans les prochaines années.

En effet, pour soutenir le développement de cette énergie renouvelable, le gouvernement a mis en place des dispositifs de soutien à la méthanisation, tels que les obligations d’achat. En vertu de cette disposition légale, tout producteur d’électricité renouvelable à partir de biogaz peut voir sa production électrique achetée, à un prix déterminé par la puissance publique, par un fournisseur historique (EDF ou les entreprises locales de distribution). Ce tarif d’achat est par ailleurs régulièrement revalorisé, comme en témoigne l’augmentation d’environ 20% (primes comprises) apportée par le dernier arrêté du 19 mai 2011.

L’Etat espère ainsi de voir une centaine de projets de méthanisation réalisés chaque année pour atteindre les objectifs ambitieux de son PNA, soit une puissance électrique installée de méthanisation de 525 mWh en 2020 contre 164,8 MWh en 2010 (source: EurObserv’ER).

En attendant des offres de gaz vert, les mécanismes de compensation carbone

Si aucune offre de gaz vert n’existe à ce jour, le consommateur soucieux de l’environnement n’est pas sans solution. En effet, des offres dites de gaz compensé carbone existent, qui permettent de neutraliser ses émissions de gaz à effets de serre.

Ces offres sont une application du principe de “neutralité géographique” issu du Protocole de Kyoto, qui consiste à compenser les particules de dioxyde de carbone émises en un endroit par la réduction de la même quantité de gaz à effets de serre dans un autre endroit. Ainsi, ces offres permettent de neutraliser les émissions de gaz à effets de serre produites par le gaz naturel consommé en finançant des projets qui visent à diminuer d’autant les rejets en C02 dans l’atmosphère.

Présentes sur le marché depuis le début des années 2010, les offres compensé carbone ne sont pas nécessairement beaucoup plus onéreuses que les offres classiques comme en témoigne l’offre d’eni qui garanti un prix du kWh inférieur à celui du tarif réglementé. Ainsi, en l’absence d’offres de gaz vert, les offres compensé carbone se révèlent être un bon compromis car elles permettent au consommateur écoresponsable de participer à la protection de la planète tout en préservant son budget.

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Huiles essentielles : découvrez le ravintsara et ses bienfaits

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De plus en plus de français vantent les vertus des huiles essentielles pour un usage quotidien. En diffusion, inhalation, massages ou parfois même en ingestion, certaines essences, comme la lavande ou l’eucalyptus, sont plébiscitées. A Albi, une boutique aide même des patients atteints de Covid-19 à retrouver l’odorat grâce à l’aromathérapie ! Huile essentielle phare des connaisseurs, le ravintsara reste relativement méconnu du grand public. Zoom sur cette plante complète et familiale. 

Mais d’où viennent les huiles essentielles de Ravintsara ?

Importé de Chine, le ravintsara est un arbre qui pousse aujourd’hui principalement sur l’île de Madagascar. Bien que faisant partie de la famille des camphriers, vous ne trouverez pas de camphre dans l’huile essentielle de ravintsara ! Attention également à ne pas le confondre avec le ravensare aromatique, lui aussi présent sur les terres malgaches. Ce dernier fait partie de la famille des lauracées et ses indications sont très différentes.

Obtenue par distillation des feuilles fraîches à la vapeur, la teneur en eucalyptol est élevée avec l’huile essentielle de ravintsara. Ceci lui confère donc une odeur agréable, fraîche et légèrement épicée.

Ravintsara indication : dans quelles circonstances utiliser cette huile essentielle ?

Comme pour beaucoup d’huiles essentielles, l’essence de ravintsara possède de nombreux atouts et peut être utilisée pour vous aider dans différents domaines.

L’huile essentielle de ravintsara et les affections respiratoires

Le ravintsara est reconnu pour ses qualités anti-infectieuses, antivirales et tonifiantes. L’huile essentielle de ravintsara est ainsi le plus souvent indiquée pour aider à soulager les affections respiratoires telles que la grippe, la bronchite ou les rhinopharyngites. Considéré comme un antibiotique naturel, le ravintsara possède des propriétés fluidifiantes et expectorantes, particulièrement conseillée dans les toux sèches. Il est également préconisé pour stimuler les défenses immunitaires et renforcer l’organisme contre les maux de l’hiver.

Les autres indications du ravintsara

Également antispasmodique, l’huile essentielle de ravintsara peut aider à soulager certaines douleurs intestinales et favorise la décontraction musculaire. Toutefois, c’est aussi pour ses bienfaits sur le tonus et l’équilibre nerveux que cette plante est souvent conseillée. Soutien contre la fatigue et les moments de déprime, le ravintsara peut aider à l’endormissement grâce à ses vertus anti-stress, et devenir un ami précieux dans l’insomnie et les troubles du sommeil.

Utilisations et précautions d’emploi de l’huile essentielle de ravintsara

Si elles sont réputées pour leur efficacité, certaines huiles essentielles sont à manier avec précaution. Des articles de presse viennent régulièrement mettre en garde contre des effets indésirables, ou même des dangers avec les sprays et les diffuseurs par exemple. Alors, qu’en est-il de l’huile essentielle de ravintsara ?

Ravintsara et grossesse : évidemment déconseillé

L’usage de l’huile essentielle de ravintsara est familial. Cela veut dire qu’il peut être utilisé pour tous à partir de 3 ans. Deux contre-indications de taille sont à noter toutefois : le ravintsara est interdit pour les personnes sous traitement immunosuppresseur, et il est également proscrit pour les femmes enceintes. Après la grossesse, il est aussi conseillé aux femmes allaitantes de demander un avis à leur médecin avant d’utiliser cette huile essentielle.

Comment utiliser les huiles essentielles de ravintsara ?

Selon le but recherché, il est possible d’utiliser les huiles essentielles en diffusion, en inhalation, par voie cutanée ou par voie interne. Certaines essences peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont ingérées. Ce n’est pas le cas du ravintsara. Avec cette plante, tous les modes d’utilisation sont possibles sans danger, dès lors que les restrictions évoquées précédemment sont respectées. 

Une ou deux gouttes sous la langue, massage ou diffusion en synergie, inhalation par vapeur ou sur un mouchoir : tout est possible avec l’huile essentielle de ravintsara. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un spécialiste en aromathérapie pour déterminer les usages les plus efficaces par rapport à votre problématique.

Devenez imbattable sur toutes les huiles essentielles après le ravintsara

Vous avez découvert l’huile essentielle de ravintsara et ses multiples avantages. Découvrez l’aromathérapie dans son ensemble et déclinez les huiles essentielles en des synergies qui vous ressemblent. Cela pourrait bien changer votre vie.

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Sommeil : nos conseils pour s’endormir facilement et rapidement

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Identifier la cause de ses problèmes de sommeil n’est pas toujours chose aisée. En effet, les raisons d’un mauvais sommeil sont diverses et peuvent être d’origine psychologique, physiologique ou environnementale. Parmi elles, le stress, une alimentation déséquilibrée, des excès de caféine ou d’alcool, l’utilisation d’écrans au coucher, ou encore un environnement peu propice au sommeil (bruit, chaleur, luminosité, mauvaise literie) etc. Mettre le doigt sur les sources de vos troubles du sommeil vous permettra de trouver des solutions adaptées. 

 

Prendre conscience de son rythme circadien 

 

Nous possédons tous une horloge interne de sommeil, appelée rythme circadien, qui influence notre sensation de fatigue. C’est un rythme qui est défini par l’alternance entre la veille, qui correspond à la période de la journée où l’on est éveillé, et le sommeil. Le décalage horaire ou encore un endormissement et un réveil à des heures différentes perturbent fréquemment les rythmes habituels de sommeil et de veille.

Il convient de se coucher tous les soirs à peu près à la même heure pour permettre à son rythme circadien de programmer cette heure de manière interne. Pratiquer une activité physique pendant la journée est également conseillé pour améliorer la qualité de votre sommeil. Toutefois, un entraînement trop intensif, notamment en fin de journée, peut provoquer des problèmes à l’endormissement.

 

Améliorer sa literie 

 

Vous dormez sur un matelas qui commence à vieillir ou utilisez un oreiller devenu difforme avec le temps ? Une literie usée peut engendrer des troubles du sommeil non négligeables, en plus de problèmes de santé, notamment des maux de dos.

Il est peut-être temps d’opter pour une literie de meilleure qualité ! De plus en plus de marques développent des technologies avancées qui promettent une expérience de sommeil optimale. Ainsi, les matelas Emma offrent une adaptabilité maximale, grâce à une technologie de mousse qui propose plusieurs zones de confort et qui convient donc à toutes les morphologies.

 

Contrer le stress

 

Si c’est le stress qui vous empêche d’avoir un sommeil digne de ce nom, alors il va vous falloir trouver les méthodes qui vous permettront de le gérer au mieux. Il existe une foule de techniques à essayer, telles que l’aromathérapie, la méditation, l’ASMR, la lecture, l’écriture, s’endormir avec de la musique… S’accorder entre 30 minutes et 1 heure de relaxation avant de se coucher peut avoir de formidables résultats. Votre corps et votre esprit s’en trouveront détendus avant même que votre tête ne touche l’oreiller.

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Assurance habitation : nos conseils pour bien faire votre choix

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L’assurance habitation est primordiale afin de protéger votre logement et vos biens en cas de sinistre, mais aussi les membres de votre foyer. Véritable garantie pour faire face aux aléas de la vie, elle permet de se prémunir contre les préjudices. Découvrez nos conseils afin de choisir l’assurance habitation la plus adaptée à votre situation, qui vous assurera une sérénité garantie.

Assurance habitation : une obligation ?

Vous êtes locataire ? Vous avez l’obligation de souscrire à une assurance habitation auprès d’un assureur comme Groupama par exemple. Vous êtes copropriétaire occupant ou non occupant de votre logement et vous le louez ? Il est obligatoire dans ce cas, d’assurer à minima sa responsabilité civile pour pouvoir être couvert des éventuels dommages causés aux autres. Ne pas être assuré, c’est prendre le risque de devoir assumer seul l’entière responsabilité financière des sinistres causés par soi-même ou par le logement lui-même.

Evaluez rigoureusement vos besoins 

Afin d’opter pour une assurance habitation adaptée, il convient de prendre en compte plusieurs critères : la composition de votre foyer, vos besoins spécifiques, votre situation (propriétaire ou locataire)… Pour qu’elle vous protège au mieux, une assurance habitation doit pouvoir compenser la dégradation, le vol ou la destruction de vos biens en cas de sinistre.

Estimez la valeur de vos biens de façon précise

Pour qu’ils soient couverts à leur juste valeur, il est important d’évaluer avec justesse la valeur de vos biens mobiliers. Cela concerne l’ensemble des objets personnels qui se trouvent dans votre logement : meubles, électroménager, équipements technologiques ou encore vêtements ou sacs à main… A noter qu’il vaut mieux surestimer et être bien couvert, plutôt que de minimiser afin d’obtenir une prime moins chère. Petit conseil supplémentaire : conservez les justificatifs d’achat et des photos de vos biens en cas de sinistre.

Comptabilisez les pièces de votre logement

Certains contrats considèrent comme pièce une surface de plus de 7m2 quand d’autres exigent plus de 9m2. Cuisine, salle de bains, toilettes, entrée et terrasse ne sont pas comptabilisées, à la différence des combles transformés en mezzanine ou en pièces à vivre. En outre, selon les contrats, une pièce de plus de 30 ou 40 m2 peut être considérée comme constituant 2 pièces.

Forts de ces conseils, il ne vous reste plus qu’à demander et à comparer des devis d’assurances habitation de différents acteurs de référence du marché comme Groupama, par exemple. 

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