Habitat
Après des modifications, quasi-unanimité pour la loi Grenelle 1 au Sénat
Après le quasi-plébiscite, à lAssemblée nationale, de la loi Grenelle 1 visant à définir les grandes lignes daction, le Sénat vient dadopter à son tour, dans un consensus équivalent, ce texte. Globalement, l’immense majorité des amendements votés ne changent pas grand-chose, à l’exception de :
– bâtiment et énergie
Lorientation prise en la matière, lors du Grenelle de lenvironnement en octobre 2007, est confirmée avec la division par quatre des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, les 23 % dénergies renouvelables dans la production électrique, et limposition, à compter de 2010, pour tous les bâtiments du service public ou tertiaire (à partir de 2012, pour toutes les nouvelles constructions), dun seuil maximal de 50 kWh par mètre carré annuel. Toutefois, lobjectif qualitatif des 80 kWh dénergie primaire par m2/an, initialement défini pour les logements anciens, est supprimé, les sénateurs fixant toutefois un seuil de 150 kWh dénergie primaire/m2/an pour les 800 000 logements sociaux à rénover (1).
Si les associations déplorent ce recul des sénateurs, considérant ‘quabaisser le seuil à 80 kWh/m2/an est techniquement possible, économiquement rentable et socialement indispensable’, soulignons que la réalité du terrain appelle à la modestie. En effet, le secteur du logement social accumule les retards depuis des années, notamment en matière délimination de linsalubrité (2), respect de la réglementation en matière de peinture au plomb (mai 2002 pour le premier texte de réhabilitation de lhabitat contenant ces peintures), de canalisations au plomb (interdit depuis 1995 dans les constructions neuves), de mise aux normes des ascenseurs (initiée en septembre 2004). En conséquence, si les sénateurs ne semblent pas vouloir imposer aux particuliers-propriétaires la mise à la norme thermique de leur logement, à loccasion de sa vente par exemple, ils souhaitent ne pas laisser le logement social le moins performant en létat, tout veillant à ne pas faire exploser la facture par des rénovations thermiques trop lourdes. Une position intermédiaire qui pourrait s’avérer plus pertinente que de rechercher une excellence thermique visiblement illusoire, au regard de la situation du secteur et des finances des collectivités locales qui en ont la charge.
– transports
La priorité accordée aux modes alternatifs à la route et à laérien est confirmée. Toutefois, les ‘grands itinéraires autoroutiers largement engagés seront menés à bonne fin dans les meilleurs délais et dans le respect de normes environnementales conformes au développement durable’, un point décrié par les associations environnementales. Cela dit, la performance énergétique des poids lourds va être encouragée, à limage de léco-conduite et de la mise en place des péages sans arrêt. Lécotaxe, prélevée sur les poids lourds, sur le principe du coût dusage du réseau routier métropolitain non concédé, est confirmée à compter de 2011. Enfin, le Gouvernement devra présenter prochainement un rapport sur les enjeux et les impacts relatifs de lautorisation de circulation des poids lourds de 44 tonnes et dune réduction de leur vitesse à 80 km/h (90 km/h actuellement) sur autoroute, le tout assujetti dune interdiction de dépasser sur ces axes.
– santé-environnement
Lengagement de réduction des pesticides à hauteur de 50 % dici dix ans est maintenu, les sénateurs introduisant au passage la simplification des procédures dautorisation de mise sur le marché des Préparations Naturelles Peu Préoccupantes (PNPP, purin dortie et autres). En outre, le Sénat a aussi voté la mise en place, avant 2012, dun carnet de santé du salarié, retraçant les expositions aux substances dangereuses durant sa vie professionnelle.
– déchets
La notion de taxe et de redevance liées à la collecte des ordures ménagères en fonction du poids des déchets et de leur nature est avancée, en passant à un délai maximal de cinq ans (dix ans à lorigine). Ce délai est fixé à dix ans pour lhabitat collectif.
1- En France, 800 000 logements sociaux ont une consommation dénergie supérieure à 230 kWh dénergie primaire par mètre carré et par an. La loi fixe leur rénovation thermique dici à 2020, selon le calendrier suivant :
– 40 000 en 2009 ;
– 60 000 en 2010 ;
– puis 70 000 par an jusquà 2020.
2- La première loi de lutte contre lhabitat insalubre date du 13 avril 1850. La dernière a été promulguée en décembre 2005 et instaure, entre autres, plusieurs dispositifs dintervention durgence.
ACTUALITE
Sommeil : nos conseils pour s’endormir facilement et rapidement
Identifier la cause de ses problèmes de sommeil n’est pas toujours chose aisée. En effet, les raisons d’un mauvais sommeil sont diverses et peuvent être d’origine psychologique, physiologique ou environnementale. Parmi elles, le stress, une alimentation déséquilibrée, des excès de caféine ou d’alcool, l’utilisation d’écrans au coucher, ou encore un environnement peu propice au sommeil (bruit, chaleur, luminosité, mauvaise literie) etc. Mettre le doigt sur les sources de vos troubles du sommeil vous permettra de trouver des solutions adaptées.
Prendre conscience de son rythme circadien
Nous possédons tous une horloge interne de sommeil, appelée rythme circadien, qui influence notre sensation de fatigue. C’est un rythme qui est défini par l’alternance entre la veille, qui correspond à la période de la journée où l’on est éveillé, et le sommeil. Le décalage horaire ou encore un endormissement et un réveil à des heures différentes perturbent fréquemment les rythmes habituels de sommeil et de veille.
Il convient de se coucher tous les soirs à peu près à la même heure pour permettre à son rythme circadien de programmer cette heure de manière interne. Pratiquer une activité physique pendant la journée est également conseillé pour améliorer la qualité de votre sommeil. Toutefois, un entraînement trop intensif, notamment en fin de journée, peut provoquer des problèmes à l’endormissement.
Améliorer sa literie
Vous dormez sur un matelas qui commence à vieillir ou utilisez un oreiller devenu difforme avec le temps ? Une literie usée peut engendrer des troubles du sommeil non négligeables, en plus de problèmes de santé, notamment des maux de dos.
Il est peut-être temps d’opter pour une literie de meilleure qualité ! De plus en plus de marques développent des technologies avancées qui promettent une expérience de sommeil optimale. Ainsi, les matelas Emma offrent une adaptabilité maximale, grâce à une technologie de mousse qui propose plusieurs zones de confort et qui convient donc à toutes les morphologies.
Contrer le stress
Si c’est le stress qui vous empêche d’avoir un sommeil digne de ce nom, alors il va vous falloir trouver les méthodes qui vous permettront de le gérer au mieux. Il existe une foule de techniques à essayer, telles que l’aromathérapie, la méditation, l’ASMR, la lecture, l’écriture, s’endormir avec de la musique… S’accorder entre 30 minutes et 1 heure de relaxation avant de se coucher peut avoir de formidables résultats. Votre corps et votre esprit s’en trouveront détendus avant même que votre tête ne touche l’oreiller.
ACTUALITE
Assurance habitation : nos conseils pour bien faire votre choix
L’assurance habitation est primordiale afin de protéger votre logement et vos biens en cas de sinistre, mais aussi les membres de votre foyer. Véritable garantie pour faire face aux aléas de la vie, elle permet de se prémunir contre les préjudices. Découvrez nos conseils afin de choisir l’assurance habitation la plus adaptée à votre situation, qui vous assurera une sérénité garantie.
Assurance habitation : une obligation ?
Vous êtes locataire ? Vous avez l’obligation de souscrire à une assurance habitation auprès d’un assureur comme Groupama par exemple. Vous êtes copropriétaire occupant ou non occupant de votre logement et vous le louez ? Il est obligatoire dans ce cas, d’assurer à minima sa responsabilité civile pour pouvoir être couvert des éventuels dommages causés aux autres. Ne pas être assuré, c’est prendre le risque de devoir assumer seul l’entière responsabilité financière des sinistres causés par soi-même ou par le logement lui-même.
Evaluez rigoureusement vos besoins
Afin d’opter pour une assurance habitation adaptée, il convient de prendre en compte plusieurs critères : la composition de votre foyer, vos besoins spécifiques, votre situation (propriétaire ou locataire)… Pour qu’elle vous protège au mieux, une assurance habitation doit pouvoir compenser la dégradation, le vol ou la destruction de vos biens en cas de sinistre.
Estimez la valeur de vos biens de façon précise
Pour qu’ils soient couverts à leur juste valeur, il est important d’évaluer avec justesse la valeur de vos biens mobiliers. Cela concerne l’ensemble des objets personnels qui se trouvent dans votre logement : meubles, électroménager, équipements technologiques ou encore vêtements ou sacs à main… A noter qu’il vaut mieux surestimer et être bien couvert, plutôt que de minimiser afin d’obtenir une prime moins chère. Petit conseil supplémentaire : conservez les justificatifs d’achat et des photos de vos biens en cas de sinistre.
Comptabilisez les pièces de votre logement
Certains contrats considèrent comme pièce une surface de plus de 7m2 quand d’autres exigent plus de 9m2. Cuisine, salle de bains, toilettes, entrée et terrasse ne sont pas comptabilisées, à la différence des combles transformés en mezzanine ou en pièces à vivre. En outre, selon les contrats, une pièce de plus de 30 ou 40 m2 peut être considérée comme constituant 2 pièces.
Forts de ces conseils, il ne vous reste plus qu’à demander et à comparer des devis d’assurances habitation de différents acteurs de référence du marché comme Groupama, par exemple.
ACTUALITE
Comment bien chauffer sa maison ?
Comment bien chauffer sa maison ?
Saviez-vous que le chauffage est l’une des plus grosses dépenses d’un foyer ? Il est donc important de se tourner vers un système économique et confortable, tout en adoptant les bons gestes au quotidien. Revoir l’isolation de son logement, utiliser la domotique, adapter la température en fonction des pièces, entretenir ses équipements… Tous ces gestes évitent d’avoir froid alors même que le chauffage est allumé. Découvrez tous nos conseils pour bien chauffer sa maison sans se ruiner !
Quand faut-il commencer à chauffer sa maison ?
Difficile de savoir quel est le moment parfait pour allumer son chauffage. Si vous ne voulez pas l’allumer trop tôt, vous pouvez attendre que les températures extérieures restent en dessous de 10 °C pendant plusieurs jours consécutifs. Mais tout dépend de vos besoins et de votre sensibilité au froid. Évitez simplement d’attendre que votre maison soit trop froide. Sinon, elle va mettre du temps à remonter en température et vos dépenses énergétiques vont grimper en flèche.
Pour les personnes qui profitent d’un système de chauffage central, et qui ont froid avant qu’il ne soit allumé, un chauffage d’appoint mobile conviendra parfaitement. Mais attention, tous les modèles ne se valent pas. Un radiateur à inertie sera par exemple beaucoup plus performant qu’un simple chauffage soufflant (et bien moins énergivore !). Ce chauffage d’appoint peut aussi vous servir au début de l’automne, lorsque toutes les pièces n’ont pas forcément besoin d’être chauffées. Vous pouvez aussi en avoir un dans la salle de bain pour la réchauffer rapidement, sans avoir besoin d’activer le chauffage dans toute la maison.
Selon les régions et le moment d’arrivée du froid, sachez que la période de chauffage s’étend généralement du 15 octobre au 15 avril.
Comment choisir un chauffage performant ?
Le chauffage étant l’un des principaux postes de votre facture énergétique, il est important de bien l’optimiser. Privilégier une source d’énergie économique et verte
Vous ne savez pas quel est le mode de chauffage le plus rentable ?
Selon le système de chauffage existant dans votre logement, sachez que vous avez plusieurs options :
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L’électricité, l’énergie la plus répandue dans la plupart des habitations : l’installation de radiateurs électriques présente l’avantage d’être économique et facile à réaliser. Certains radiateurs (les convecteurs notamment) ont un mauvais rendement et consomment beaucoup d’énergie. Mais rassurez-vous, il est tout à fait possible de bien chauffer sa maison avec un chauffage électrique. Veillez simplement à choisir un modèle qui diffuse une chaleur douce, sans aucune déperdition d’énergie. Rothelec propose par exemple une technologie innovante qui allie l’accumulation, la convection et le rayonnement.
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Les énergies fossiles comme le gaz naturel, le pétrole, le fioul ou le charbon : excepté le gaz qui reste assez économique, ces énergies sont les plus chères et les plus polluantes. Notez que les chaudières au fioul seront interdites en France à partir du 1er janvier 2022.
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Les énergies écologiques et renouvelables telles que le bois ou le solaire : l’installation de panneaux solaires requiert un investissement non négligeable, mais leur coût est rapidement amorti grâce aux économies réalisées. Le chauffage au bois est le plus économique, mais tout le monde n’a pas la chance d’avoir une cheminée, un poêle à granulés ou une chaudière à bois.
Opter pour un chauffage adapté à ses besoins
Bien chauffer sa maison demande aussi d’évaluer correctement ses besoins. Que ce soit pour réduire sa facture d’électricité ou limiter son impact sur l’environnement, il faut réussir à trouver un équilibre entre confort et économies d’énergie. Plusieurs critères doivent ainsi être pris en compte : la configuration du logement, l’isolation, l’emplacement géographique et les évolutions législatives (notamment l’interdiction du fioul à partir de 2022), la taille de votre famille… Tout ceci vous aidera à déterminer quels appareils de chauffage sont les plus appropriés à votre logement.
Si vous avez jeté votre dévolu sur les radiateurs électriques, sachez qu’il existe différents modèles :
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Le convecteur, souvent surnommé « grille-pain ». Ce type de radiateur a beau être bon marché à l’achat, il est très énergivore au quotidien.
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Le radiateur rayonnant qui diffuse la chaleur sous forme de rayons depuis sa façade. Il produit une chaleur assez sèche, et ne chauffe plus une fois qu’il est éteint (contrairement à l’inertie).
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Le radiateur à inertie fluide ou inertie sèche est le plus économique des chauffages électriques. Cet appareil a l’avantage d’offrir une chaleur homogène et agréable. Il permet en plus d’accumuler la chaleur, pour la rediffuser une fois le radiateur éteint.
Quel que soit le type de chauffage que vous utilisez, pensez à vous équiper d’un système avec programmation et connecté. C’est plus facile de bien chauffer sa maison avec une programmation à distance. Grâce au thermostat intelligent, aux détecteurs et à la programmation, vous pourrez ainsi ajuster précisément la température en fonction de vos habitudes de vie. Rien de mieux pour faire de belles économies d’énergie !
Trouver une solution pour chauffer une pièce sans chauffage
Si vous n’avez pas besoin de chauffer certaines pièces tous les jours (une chambre d’amis, une salle de bain secondaire ou un bureau par exemple), un radiateur mobile suffira amplement. Très pratiques, ces chauffages d’appoint sont rapides à installer et à déplacer. Ils sont parfaits pour dépanner ! En plus, ils permettent d’augmenter rapidement la température d’une pièce.
Améliorer durablement son logement
Réduire ses dépenses énergétiques, c’est encore plus facile avec un logement bien isolé. En effet, une bonne isolation thermique permet de réduire les déperditions de chaleur. Une maison perd en moyenne 30 % de chaleur par le toit, 25 % par les murs et 15 % par les fenêtres. Si vous voulez atteindre une température ambiante de 20 °C mais que votre mur est à 14 °C, vous aurez un ressenti de 17 °C. En revanche, une paroi bien isolée à 19 °C garantit un ressenti de 19,5 °C.
Pour y remédier, vous pouvez mettre des boudins devant les portes et les fenêtres, installer du double vitrage, isoler les éventuels trous et fissures, ou utiliser des rideaux isolants thermiques. L’idéal, c’est bien sûr d’effectuer quelques travaux d’isolation. De nombreuses aides financières telles que la Prime Rénov’ ou la Prime énergie CEE permettent de rendre ces travaux plus accessibles pour les ménages modestes.
En parallèle, privilégiez des équipements basse consommation. Vous pouvez vous fier aux étiquettes énergétiques (de A +++ à G) ou aux labels comme « NF PAC » ou « Flamme verte » et « NF3 étoiles œil » pour les radiateurs électriques.
Quelques gestes à adopter au quotidien pour bien chauffer sa maison sans se ruiner
Si vous souhaitez mieux chauffer et moins dépenser, il ne suffit pas de choisir un radiateur performant. Il faut aussi mettre en place les bons réflexes :
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Ne pas surchauffer le logement (l’ADEME recommande 19 °C pour les pièces de vie, 16 °C dans les chambres et 21 °C pour la salle de bain) ;
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Diminuer la température de 1 °C pour faire 7 % d’économies d’énergie ;
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Fermer les volets la nuit, les ouvrir en journée pour profiter de la chaleur du soleil ;
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Aérer pendant au moins 10 minutes pour renouveler l’air et évacuer l’humidité (un air sec chauffe plus rapidement) ;
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Éviter les gros écarts de températures entre les différentes pièces de la maison ;
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Mettre les radiateurs en position hors gel durant les absences prolongées ;
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Désencombrer l’espace devant les radiateurs ;
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Bien entretenir ses équipements ;
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Utiliser un thermostat programmable ou connecté ;
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Comparer les offres des différents fournisseurs d’énergie.
Avec tous ces conseils, vous êtes prêts à affronter l’hiver en toute sérénité. Plus besoin d’avoir froid et de payer une fortune pour votre facture d’électricité !