Santé
Qu’est-ce que l’Aromathérapie et les huiles essentielles ?
Santé
L’Aromathérapie, est une méthode thérapeutique alternative à la pharmacie chimique classique, utilisée par les naturopathes mais aussi par certains médecins ou même dans quelques hôpitaux. Le terme « aroma» signifie étymologiquement l’essence d’origine végétale, appelée huile essentielle. L’utilisation des plantes pour leurs vertus médicinales est très ancienne, la connaissance de la flore, et l’usage des plantes pour soigner, fût souvent à la base de toute civilisation. Ce savoir nécessitant toute une vie d’apprentissage, était précieusement gardé et transmis.
Basée sur l’extraction et la concentration des composés des plantes médicinales et aromatiques, l’aromathérapie, n’est pas forcement une médecine « douce », elle se sert des molécules actives naturellement présentes dans les plantes pour remédier à certains maux de santé, mais aussi pour la détente, la beauté ou l’hygiène.
Le champ d’action des huiles essentielles est vaste. Certaines sont reconnues scientifiquement, études publiées à l’appui, pour soigner et protéger l’organisme, d’autres ont simplement fait la preuve de leur efficacité par expérience. Au delà de leur vertus médicinales, on peut également se servir des huiles essentielles pour l’hygiène des espaces intérieurs en diffusion ou pour leur action bienfaisante sur le plan psychologique.
Comment obtenir une huile essentielle à partir d’une plante ?
Toutes les plantes ne peuvent pas forcement fournir une huile essentielle en quantité suffisante. En fonction des plantes, les huiles essentielles, seront prélevées sur des organes différents : feuille, rameau, écorce, fleur, bois, racine…etc. Ces plantes peuvent parfois être cultivées, mais pour certaines, seule la cueillette sauvage permet de les obtenir. La plante doit être utilisée fraiche, c’est pourquoi l’extraction est faite directement sur le lieu de la récolte.
Il existe plusieurs modes d’extraction des huiles essentielles. La pression à froid, privilégiée pour les agrumes, permet l’obtention de l’huile essentielle par simple pression des zestes frais. Pour les autres plantes, la distillation est la méthode la plus répandue : les plantes sont « pressées » via de la vapeur d’eau qui draine les molécules aromatiques. Ces dernières sont récupérées par recondensation de ces vapeurs. On récupère ainsi un liquide en 2 phases : l’huile essentielle surnageant au dessus de l’eau florale. Alors que l’huile essentielle aura concentré la majorité des composants de la plante, l’eau florale quant à elle n’en contiendra qu’une teneur réduite (idéalement dosée pour les enfants par exemple). Il existe une dernière méthode d’extraction par solvant (dont le CO2) utilisée pour les fleurs fragiles par exemple.
Comment utiliser les huiles essentielles ?
Il existe trois grands modes d’utilisation des huiles essentielles : par voie orale, cutanée, ou en diffusion.
Le choix de la méthode d’absorption dépendra aussi bien de l’effet attendu que de la nature de l’huile. Certaines huiles étant plus propices à tel ou tel usage.
Par voie interne, on va généralement mélanger quelques gouttes d’huiles essentielles à un peu d’huile végétale ou à du miel, ou bien sur un support neutre. On peut également trouver des préparations prêtes à l’emploi dans des bases d’alcool, des capsules (avec une base d’huile végétale) ainsi que des suppositoires.
Par voie externe, on va tout simplement mélanger quelques gouttes d’huiles à une huile de massage (rose musquée, calophyllum, argan, macadamia, amande, noisette). L’huile se diffuse alors à travers les couches supérieures de l’épiderme.
Enfin, par voie aérienne, il suffit de laisser une huile très volatile se répandre dans une pièce grâce à un diffuseur ou bien en mettre quelques gouttes dans un mouchoir et inhaler de temps en temps.
Quelles sont leurs propriétés ?
Les huiles essentielles sont des concentrés de plantes, dont les molécules sont naturellement actives. Une huile essentielle peut renfermer jusqu’à plusieurs centaines de sortes de molécules, chacune ayant des propriétés particulières: antiseptiques, bactéricides, immunostimulantes, décongestionnantes, etc… Les molécules actives sont classifiées en plusieurs familles, par exemple: cétones, esters, coumarines, phénols, monoterpénols, etc. Une même HE peut contenir jusqu’à 500 molécules actives.
Toutes ces molécules travaillent en synergie, ce qui explique la polyvalence des huiles essentielles et leur vaste spectre d’action, ainsi que l’importance d’utiliser une HE dans son intégralité.
Une fois que l’on connaît les propriétés de chaque molécule ainsi que leur concentration dans une huile essentielle, on peut déterminer quels seront les effets attendus sur la santé. On compte ainsi un champ d’action très large : toux, maux de tête, sinusite, asthme, problèmes digestifs, insomnie, fatigue, blessures sportives, sommeil, troubles de la ménopause, fatigue, stress, problèmes immunitaires, migraines, dépressions, etc.
A la Une
Qu’est que le chémotype d’une huile ?
On appelle chémotype le type chimique d’une huile essentielle. Une même espèce botanique peut fournir plusieurs huiles essentielles différentes, en fonction de son environnement (climat, type de sol, ensoleillement,…). D’où l’existence de plusieurs chémotypes. C’est le cas du Thym Vulgaris par exemple, qui produit 7 huiles essentielles reconnues et chemotypées différemment (thymol, carvacrol, géraniol, linalol, thuyanol, terpinéol, borneol). Chaque chémotype correspond à un composé présent en majorité, induisant des propriétés différentes de l’huile essentielle. Par exemple le Thym à Geraniol pourra être utilisé en massage doux pour des enfants, alors que le Thym à Thymol, puissant antiseptique est dermocaustique (contre indiqué en usage externe !)
Pourquoi choisir une HE Biologique ?
Le choix d’une huile essentielle biologique, c’est la certitude qu’elle ne contient pas de pesticides ou de fertilisants, néfastes pour notre santé. Le mode de production biologique garantit aussi la préservation de notre environnement pour les générations futures, ne l’oubliez pas ! Cependant certaines HE rares ou peu connues, provenant de cueillettes sauvages ou de petits producteurs dans des lieux reculés n’ont pas la certification biologique, mais n’en sont pas moins totalement naturelles.
Comment reconnaître une HE de Qualité ?
Privilégiez d’abord le mode de production biologique, pour les raisons évoquées ci dessus. Lorsque c’est possible, choisissez une huile essentielle Bio cultivée et distillée en France. Vous favoriserez ainsi le développement agricole Régional et la préservation de notre environnement en évitant des émissions de Co2 dues au transport.
Attention aux prix trop bas ! Il faut savoir que les véritables huiles essentielles 100 % naturelles sont des produits précieux. Les prix varient selon la rareté de la plante, la difficulté et le mode d’extraction, l’origine, la variété.
Il faut compter en moyenne de 6 à 12.000.- kg de plante, pour obtenir 1 litre d’huile essentielle. Dans le cas de la rose de Damas il faut de 3500 à 4000 kg de pétales de rose, pour la Mélisse jusqu’à 12.000.- kg. D’où le prix élevé des véritables huiles essentielles.
Vous trouverez sur le marché certaines huiles essentielles à prix cassées, assurez vous quelles soit pures, intégrales, vérifier le mode d’extraction et l’origine.
Ne choisissez pas des huiles synthétiques, qui conviennent à la parfumerie, mais pas à l’aromathérapie. Pour les initiés, la qualité d’une huile essentielle peut être jugée par son parfum, sa couleur, sa composition et son origine.
Qui est Salvia
Nutrition et Cosmétique ?
Salvia Nutrition & Cosmétique est spécialisée dans la conception de compléments alimentaires et de soins cosmétiques à base d’huiles essentielles et de totum de plantes. Le choix, le traitement et l’assemblage optimal de ces ingrédients nobles nécessite un savoir-faire unique et s’appuie sur une longue experience.
Salvia a été pionnier dans l’encapsulation des HE, procédé rare qui permet leur dosage, protection et une utilisation plus facile. Notre force : des formules pures, concentrées et exclusives garantissant naturalité et efficacité.
Santé, sport, beauté, avec ses 30 ans d’experience, Salvia apporte une réponse efficace aux problématiques du quotidien. Fortes, concentrée, complexes, nos formules portent directement l’essence, l’énergie et le message des plantes.
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Salvia Nutrition & Cosmétique
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Santé
Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
A la Une
Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)
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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?