Santé
Omraam Mikhaël Aïvanhov aux EDITIONS PROSVETA
Santé
Philosophe et pédagogue français d’origine bulgare, Omraam Mikhaël Aïvanhov, est publié depuis 1971 par les Éditions Prosveta. D’inspiration spiritualiste, son œuvre, qui est actuellement traduite en 37 langues, se caractérise par la grande diversité des thèmes abordés. Toutefois, la question essentielle reste l’épanouissement de l’être humain et sa place au sein de la société : « Chacun, dit-il, doit penser et travailler à son propre développement, à condition que ce ne soit pas uniquement pour lui-même, mais pour le bien de la collectivité. À ce moment-là, la collectivité devient une fraternité. Une fraternité est une collectivité où règne une véritable cohésion, parce qu’en travaillant pour lui-même, chaque individu travaille aussi consciemment pour le bien de tous. »
Notre salut : une identification
avec la beauté du monde
S’il y a au moins un point sur lequel toutes les religions semblent s’accorder, c’est que l’homme est une créature imparfaite, mais pourtant perfectible, et que son perfectionnement n’est possible que grâce à une discipline, une ascèse. Suivant les cultures, cette ascèse prend différentes formes, mais elles procèdent toutes d’une conviction identique : la créature humaine « pécheresse » ne trouve son salut que grâce à des pratiques aux noms généralement porteurs de connotations négatives : renoncement, remords, pénitence, privations, expiation, mortification… pratiques qui ne peuvent en réalité que l’accabler, l’affaiblir. À l’opposé, même si le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov se révèle souvent un analyste implacable de la nature humaine, non seulement les méthodes qu’il donne n’amoindrissent jamais l’homme, mais elles tendent à le porter au-delà de ses propres limites.
Dans ces méthodes, la nature joue un rôle essentiel : elle est sans cesse proposée à notre admiration, notre méditation, notre contemplation, afin qu’en nous harmonisant avec elle, en nous identifiant à elle, nous parvenions à transformer notre matière physique et psychique, à retrouver la pureté et la lumière de notre essence primordiale.
Ci-dessus CD5025FR conférence audio – La nutrition une science encore méconnue. « Pourquoi il est important de manger en silence avec attention, amour et reconnaissance »
Ces méthodes s’apparentent à celles de la création artistique qui est, par définition, dépassement de soi. Les fleurs, les arbres, les rochers, les lacs, les cascades, le soleil, les étoiles ne sont jamais pour le Maître des éléments à exploiter pour notre confort, ni un décor destiné au plaisir de nos yeux, mais, grâce aux rapports que nous nous efforçons d’entretenir avec eux, ils deviennent les auxiliaires privilégiés de notre transformation, de notre re-création.
Faire des exercices passe rarement pour une activité poétique, et pourtant, paradoxalement, on peut dire que ce sont les exercices donnés par le Maître qui font la plus grande poésie de son Enseignement. Plus que par le remords, la pénitence et le renoncement, c’est grâce à une identification avec le mystère et la beauté du monde que nous nous arrachons à notre condition de créature imparfaite : dans notre esprit et dans notre âme nous faisons se dresser des sommets, briller le soleil, chanter des cascades, miroiter l’eau pure des lacs, fleurir des jardins, fructifier des vergers. C’est là qu’est notre salut.
Règles d’or pour la vie quotidienne
Réf.P227FR
Extrait de la table des matières
I. Le bien le plus précieux : la vie II. Concilier la vie matérielle et la vie spirituelle III. Consacrer sa vie à un but sublime IV. La vie quotidienne : une matière que l’esprit doit transformer V. La nutrition considérée comme un yoga VI. La respiration VII. Comment récupérer ses énergies VIII. L’amour rend infatigable IX. Le progrès technique libère l’homme pour le travail spirituel X. Aménagez votre demeure intérieure XI. Le monde extérieur est un reflet de votre monde intérieur XII. Préparez l’avenir en vivant bien le présent XIII. Goûtez la plénitude du présent XIV. L’importance du commencement XV. Prendre conscience de ses habitudes mentales XVI. Attention et vigilance XVII. S’en tenir à une direction spirituelle XVIII. Insister plus sur la pratique que sur la théorie XIX. Préférer les qualités morales au talent XX. Être content de son sort et mécontent de soi XXI. Le travail spirituel ne reste jamais sans résultats XXII. La régénération de nos corps physique, astral et mental XXIII. Cherchez chaque jour votre nourriture spirituelle XXIV. Révisez périodiquement votre vie XXV. Accordez le but et les moyens…
Les semences du bonheur
Réf.P231FR
Table des matières
I. Le bonheur : un don à cultiver II. Le bonheur n’est pas le plaisir III. Le bonheur est dans le travail IV. La philosophie de l’effort V. C’est la lumière qui fait le bonheur VI. Le sens de la vie VII. Paix et bonheur VIII. Pour être heureux, soyez vivant ! IX. S’élever au-dessus des conditions X. Développer la sensibilité au monde divin XI. La terre de Canaan XII. L’esprit est au-dessus des lois de la destinée XIII. Chercher le bonheur en haut XIV. Recherche du bonheur, recherche de Dieu XV. Il n’y a pas de bonheur pour les égoïstes XVI. Donnez sans rien attendre XVII. Aimez sans demander d’être aimé XVIII. De l’utilité des ennemis XIX. Le jardin des âmes et des esprits XX. La fusion dans les plans supérieurs XXI. Nous sommes les créateurs de notre avenir.
A la Une
PENSÉES QUOTIDIENNES DE 2011
Réf.Q2011FR
Un thème de méditation pour chaque jour de l’année
Vous trouverez un index en fin d’ouvrage
« Notre existence n’est qu’un flux interrompu, mais de temps à autre nous devons trouver le moyen de nous arrêter pour mettre un peu d’ordre en nous-mêmes, pour nous accorder à des rythmes plus harmonieux. C’est en cela que la pratique de la méditation est si précieuse. Méditer, c’est ralentir la marche précipitée du temps, afin d’introduire en nous un ordre, une paix, une lumière qui, longtemps encore, laisseront leur empreinte. »
LA NOUVELLE TERRE
Méthodes, exercices, formules, prières Réf. C13FR
Table des matières
I. Prières II. Le programme de la journée III. La nutrition IV. Le comportement V. Les problèmes du mal VI. Les méthodes de purification VII. Les relations humaines VIII. Les relations avec la nature IX. Le soleil Les étoiles X. Le travail de la pensée XI. La galvanoplastie spirituelle XII. Le plexus solaire XIII. Le centre Hara XIV. Les méthodes de la lumière XV. L’aura XVI. Le corps de gloire XVII. Quelques formules et prières Appendice : les exercices de gymnastique
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B.P.12 – ZA Le Capitou – 83601 Fréjus Cedex
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Santé
Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
A la Une
Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)
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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?