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La dynamisation de l’eau. Pourquoi ?

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Le rôle de l’eau au sein de la vie organique est sans conteste le plus important. Sans eau, il n’y a pas de vie végétale, animale et humaine. Notre planète ainsi que notre corps physique sont constitués à plus de 75 % d’eau, c’est dire l’importance de cet élément. Par ailleurs, la mort biologique est liée à la déshydratation des corps. Ainsi l’eau, cette molécule simple, se présente à nous comme étant l’interface, mais aussi le lien entre l’énergie et la matière, le ciel et la terre. Si l’Amour est le lien spirituel entre les hommes, l’Eau est le lien matériel entre les éléments physiques pour créer le Vie organique.. Elle est : Amour liquide (JDP).
L’eau sert à baptiser donc à la re-connexion avec notre dimension spirituelle. Elle est le trait d’union entre la matière et l’énergie.

Source de vie: L’EAU est le plus puissant résonateur cosmique et c’est dans cet océan de matière dont nous sommes issus, que notre organisme a la possibilité de métaboliser la nourriture substantielle (en optimisant son potentiel vital), pour autant que la valeur de cette eau possède un pouvoir énergétique suffisant. Autrement dit qu’elle soit une EAU VIVANTE afin qu’elle devienne un régénérateur puissant.Il apparaît donc évident que l’eau (une eau de qualité) est le facteur essentiel au bon fonctionnement de l’organisme et au maintien d’une bonne santé. La déshydratation et la déminéralisation chronique sont à l’origine de nombreuses pathologies comme l’ont déjà souligné de nombreux chercheurs et médecins.
Aussi est-il indispensable de boire journellement de l’eau et si possible UNE EAU VIVANTE.

Malheureusement, à l’instar de l’eau en bouteille après transport et stockage, l’eau des réseaux de distribution a été déformatée par les kilomètres de canalisation, ainsi que par les nombreux traitements subis et par la pollution environnante. Elles sont devenues des eaux énergétiquement mortes. Et c’est ici qu’apparaîssent les bienfaits incontestables de la dynamisation de l’eau.
La dynamisation de l’eau remonte au début des années 1940 (M.Violet ) et les effets bénéfiques au niveau végétal, animal et humain ont été démontrés et consignés dans des ouvrages aujourd’hui épuisés. Il se trouve que le dynamiseur d’eau OLI-DYN breveté en 1984 et conçu par Jean PAGOT ingénieur en physique de particules au CNRS (collaborateur de M.Violet durant 17 ans), a le privilège de rendre notre eau vivante en lui apportant un spectre de fréquences très large en ondes biologiques, ces dernières étant le carburant indispensable au fonctionnement optimal des cellules.Ces ondes biologiques sont à la base d’une bonne santé. Elles sont à la fois le carburant et le véhicule permettant tous les processus physiologiques naturels. Sans jamais jouer le rôle de béquilles (ce qu’elles ne font surtout pas), ces ondes biologiques optimisent l’activité des cellules et maintiennent de ce fait notre système immunitaire à son meilleur rendement. L’eau dynamisée par OLI-DYN apporte les propriétés vitales pour une action et une stimulation des fonctions capitales de l’organisme. Et, par l’adjonction de métaux purs, OLI-DYN produit des oligo-éléments vitaux à l’état naissant parfaitement assimilables, agissant comme un complément alimentaire majeur. Par son action remarquable sur la santé, OLI-DYN favorise la régénération de nos cellules, accroît notablement notre énergie vitale et stimule nos systèmes d’auto-défense, d’autoréparation. Par sa puissance de rendement, OLI-DYN dynamise les liquides en une demi-heure, quelle qu’en soit la quantité.
Les 19 oligo-éléments fournis avec le dynamiseur ne s’usent pratiquement pas, ils se maintiennent à vie et permettent de faire notre propre eau dynamisée en sélectionnant les métaux souhaités. Pratique et simple d’emploi, on peut emmener OLI-DYN partout avec soi.
Cet appareil générateur-dynamiseur-ioniseur d’eau par excellence a été créé pour des usages esthétiques, sportifs, domestiques, agricoles… Mais aussi pour des applications à visée purement thérapeutiques : vétérinaires, etc.

A la Une

La consommation quotidienne d’eau dynamisée avec OLI-DYN est recommandée et apporte des bienfaits rapidement vérifiables. Cette eau hautement énergétique est une aide précieuse dans de très nombreux cas. L’eau est quelque chose de merveilleux, quelque chose de précieux que l’être humain n’apprécie pas encare à sa juste valeur. Il est bien loin de se douter de ce qu’est l’eau. ( A.R.S – 1941 ).
Et pourtant, bien qu’en étant constitués à plus de 75%, nous négligeons et laissons de côté le facteur primordial de la santé, celui qui est le fondement même de la vie et de la santé : l’EAU.

OLI-DYN rend l’EAU VIVANTE et redonne à cette dernière la place qui lui revient: la place première, la place royale.

OLI-DYN n’est ni une copie, ni une reproduction du procédé Violet mais il en est l’amélioration et la continuité. En effet J.Pagot (collaborateur de M.Violet durant 17 ans) a ré-étudié ces phénomènes en tenant compte de l’électronique moderne et ainsi est né L’OLI-DYN, breveté en 1984. De conception nouvelle, OLI-DYN produit une énergie plus stable, plus pure, étendue à un plus large spectre de fréquences.
Le dynamiseur- ioniseur d’eau OLI-DYN est de conception et fabrication française. Il est fabriqué par J-D PROVIGNON seul détenteur du brevet OLI-DYN

OLI-DYN – La Quintessence bio-énergétique pour la santé et le bien-être. OLI-DYN produit :
– Des ondes biologiques
– Des ions Hydrogène négatifs
– Des molécules trimères
– Des oligo-éléments vitaux à l’état naissant.

Pour tout renseignement et commande s’adresser à :
J-D PROVIGNON
Fabricant du dynamiseur d’eau OLI-DYN
7, rue de la marguerite – 08310 Hauviné – France
03 24 71 49 97 – jdprovignon@wanadoo.frwww.eau-alternative.com

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Pasteur, mystification et vaccination

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Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.

Le centenaire de la vérité

La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.

Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie

Réaction anormale à un vaccinPasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées — et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III — pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !

La supercherie de Pouilly-le-Fort

Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.

vaccinationCertains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?

A la Une

Ne pas se tromper de combat

Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.

* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.

Un peu d’histoire

14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
cuve de pasteurisation pour la conservation des denrées alimentaires1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.

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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)

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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.

Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?

vaccination cancer col de l'utérusCréation d’un besoin

Gardasil et Cervarix sont les nouveaux vaccins vedettes de l’industrie pharmaceutique. Le matraquage publicitaire, les communiqués des agences sanitaires et les déclarations rassurantes des médecins ont créé un besoin en jouant sur la peur. La peur du cancer. Mais cette vaccination, officiellement recommandée, est-elle pour autant recommandable ? Est-elle efficace ? Ces vaccins sont-ils réellement sûrs ? A-t-on assez de recul pour pouvoir en juger ? Comment se transmet la maladie contre laquelle on vaccine ? Est-elle grave ? Est-elle fréquente ? Les traitements curatifs sont-ils au point ?

Jessica Vega avant sa vaccination,
voir son histoire page suivante

Un label « anti-cancer » abusif

Tout le monde parle de vaccination « contre le cancer du col de l’utérus » or il s’agit en fait de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV), accusé d’être à l’origine du cancer, ce qui reste à prouver. En effet, le papillomavirus humain (HPV), virus dont il existe plus d’une centaine de souches, et qui se transmet préférentiellement par voie sexuelle, n’est jamais, à lui seul, une cause suffisante pour générer le cancer du col de l’utérus. Et ce, même pour la douzaine de souches dites « à haut risque » dont font partie les souches 16 et 18 de HPV incluses dans les deux vaccins. En effet, dans 90 % des infections au HPV, le virus sera éliminé naturellement dans un délai de 8 à 13 mois sans avoir généré le moindre désagrément. Dans les 10 % restants, le virus pourra persister plus longuement et être associé à l’apparition de lésions pré-cancéreuses appelées dysplasies cervicales dont il existe différents grades. Toutefois, seuls 3 % de ces dysplasies (donc 0,3 % maximum du total des infections) dégénéreront en cancer. Ces lésions débutantes peuvent disparaître naturellement et elles peuvent être traitées très efficacement. Le stade de cancer véritable peut donc être évité dans la majorité des cas. Laser et conisation (abrasion mécanique des cellules lésées) ne sont en rien comparables aux lourds traitements classiques des cancers que sont la chimiothérapie et la radiothérapie.

Une composition inquiétante
Les deux vaccins sont des vaccins transgéniques : tantôt fabriqués à partir de cellules de levure de bière (Gardasil) tantôt à partir de cellules et de virus d’insecte (Cervarix), il faut savoir que la purification ne peut jamais être parfaite et que donc des résidus de la manipulation génétique (enzymes, ADN hétérogène, ..) peuvent toujours subsister dans la formule finale avec le risque que cela interfère avec notre génome. Le Gardasil contient en outre 225µg d’aluminium par dose ainsi que du polysorbate 80 et du borate de sodium, des substances connues pour leur neurotoxicité, leur cancérogénicité et leurs nombreux autres effets secondaires, notamment sur la circulation et les organes des sens. Le vaccin Cervarix, lui, renferme 500 µg d’aluminium par dose ainsi qu’une fraction bricolée d’endotoxine (lipide A purifié), le tout formant un adjuvant détonnant appelé « AS04 », adjuvant pour lequel on manque énormément de recul quant à son potentiel d’induire des maladies auto-immunes.

vaccin anti-cancer col de l'utérusLa prévention est plus efficace

L’intérêt des traitements locaux pour les lésions détectées à temps rappelle l’importance d’un dépistage régulier par frottis pour les jeunes femmes dès qu’elles deviennent sexuellement actives. C’est d’ailleurs cette absence de dépistage organisé qui explique pourquoi 80 % des cas mondiaux de cancer du col surviennent dans les pays du Sud. Même si, en France, ce taux de dépistage plafonne à moins de 60 %, celui-ci a permis une réduction très importante de la mortalité par ce type de cancer qui ne représente que 2 % de la mortalité totale féminine par cancer. De plus sa fréquence n’a cessé de diminuer ces vingt dernières années sans qu’aucun vaccin ne soit entré en jeu. Autre piste de prévention, les femmes doivent prendre en compte leurs propres facteurs de risque (tabagisme, alimentation déséquilibrée, stress, exposition à différents polluants, prise de la pilule contraceptive, immunodépression, relations multiples non protégées, etc.) pour essayer, dans la mesure du possible, de corriger leur terrain et de renforcer leur immunité.

A la Une

Des bénéfices incertains

Le fabricant du Cervarix (dirigé contre les HPV 16 et 18) prétend pouvoir lutter contre 80 % des cas de cancers du col grâce à une protection croisée avec d’autres souches non contenues dans son vaccin. Le fabricant du Gardasil (dirigé contre les HPV 6,11, 16 et 18) prétend que ce vaccin éviterait 70 % des cas et qu’il peut, en outre, aussi protéger des verrues génitales (qui sont une pathologie bénigne). Les deux laboratoires préconisent la vaccination précoce avant les premiers rapports sexuels pour une plus grande efficacité. Mais ils oublient de donner des informations capitales : la fréquence des sérotypes de HPV varie fortement d’une région du monde à l’autre.

Selon une étude récente parue dans Jama (revue médicale de référence), les HPV 16 et 18 ne seraient impliqués que dans 2,3 % de toutes les contaminations par HPV dans un pays industrialisé comme les Etats-Unis ! Qui peut dire alors que la vaccination n’induira pas, par compensation, une fréquence accrue d’autres souches, non contenues dans ces vaccins, et qui deviendraient alors plus résistantes ? Le Pr. Claude Berraud, ancien vice- président de la commission transparence de l’Afssaps et membre du conseil scientifique de la Mutualité française, a récemment exprimé son scepticisme dans Le Monde : « Dans le cas où ce vaccin serait efficace, le pourcentage de la population qui en bénéficierait sera faible. Les modèles statistiques et épidémiologiques les plus optimistes estiment que la vaccination de toute la population adolescente conduirait, en 2060, à une réduction de 10 % de la mortalité par ce cancer, soit en France 100 femmes par an. En dernier lieu, le coût de cette efficacité clinique serait très élevé ».

Et ensuite ?

Rappelons que le cancer du col atteint son pic de fréquence chez la femme d’âge mûr. Comment prétendre, sur la base d’essais cliniques d’une durée de cinq ans, que de tels vaccins éviteront le moindre cas de cancer, 20 ans plus tard ? En admettant que le vaccin soit efficace, personne ne peut dire (pas même les laboratoires) quelle sera la durée réelle de protection par cette vaccination. Or, quand on sait que 3 femmes sur 4 rencontrent de tels virus au cours de leur vie, comment savoir si les jeunes femmes vaccinées ne finiront pas par être infectées elles aussi ? Faudra-t-il entrer dans le cercle vicieux des rappels ?

==> Suite et fin de l’article

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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (2e partie)

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==> Vers le début de l’article

Des conséquences graves

risque de conséquences vaccination col de l'utérus Présentés comme sûrs par les fabricants et les autorités, ces vaccins sont pourtant depuis plusieurs mois dans la tourmente. Aux USA où le vaccin Cervarix n’a pas reçu le feu vert de la FDA (Food & Drug Administration), le Gardasil est déjà associé à 25 décès et plus de 8000 effets graves. Or, quand on sait que les effets secondaires connus de vaccins rapportés représentent seulement 1% de la réalité de l’aveu même du CDC et de la FDA, il y a vraiment de quoi s’alarmer. Il faut aussi savoir que cette vaccination n’a pas été évaluée, lors des essais cliniques, sur des jeunes femmes de moins de 16 ans alors qu’elle est pourtant préconisée dès 11 ou 12 ans selon les pays. Voici quelques uns des effets graves possibles (ils ne surviennent pas toujours juste après l’injection ni forcément après la première dose) : décès dont certains par thrombose, arrêts cardiaques, paralysies pouvant être irréversibles, bronchospasme, syncope, faiblesse généralisée, troubles cutanés, arthrite, migraines invalidantes, inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales, modifications du cycle menstruel avec disparition ou amoindrissement du flux périodique, troubles de la vue, épilepsie parfois irréversible, fausses couches sans compter le risque de maladie auto-immune pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin (et même peut-être plus car le délai d’apparition de maladie auto-immune est parfois plus long).

Des témoignages dramatiques

paralysie Guillain-Barré suite vaccination col de l'utérusConfrontées le plus souvent au déni du corps médical qui les a vaccinées, les jeunes femmes n’ont plus qu’internet ou quelques rares médias à qui elles peuvent se confier. Les témoignages sur les « blogs » ou les « forums » sur le sujet sont très nombreux, dans toutes les langues. Il suffit de taper les mots clés « gardasil », « cervarix », « effets indésirables vaccination », etc. Ainsi, les proches de la jeune Jeanie Tetlock, une américaine de 14 ans, ont créé un blog suite à la maladie neurodégénérative qui a débuté chez elle un mois après la vaccination. Jessica Vega (cf. photo page précédente avant la vaccination), une autre américaine de 14 ans, vaccinée à l’école il y a un an, a développé une paralysie de type Guillain-Barré une semaine après la deuxième dose et n’a vu son état s’améliorer qu’au bout d’un mois de rééducation fonctionnelle (photos ci-contre et ci-dessus).

Une communauté médicale très divisée

Les médecins sont loin d’être unanimes sur le sujet : certains pointent l’inutilité de cette vaccination, d’autres en dénoncent les dangers. Ainsi dès la fin de l’année 2007, plus de 3300 médecins espagnols ont demandé un moratoire sur la vaccination contre le cancer du col de l’utérus en raison notamment du manque de recul évident. Un moratoire a aussi été demandé au Québec. En Italie c’est la société de pédiatrie qui a initié une pétition. Puis toute une série de médecins spécialistes ou non se mettent à dénoncer individuellement cette vaccination. Sur le site de la mutualité française, le Dr Guérin du Masgenêt explique qu’il ne faut pas se précipiter sans réfléchir sur cette vaccination. Le Dr Martin Winckler aussi exprime son scepticisme sur son site. Pour la gynécologue Françoise-Alice Wolf « nous ne sommes pas là pour engraisser les laboratoires et médicaliser des filles de 14 ans affolées ainsi que leurs mères, sans recul sur le long terme ! En 25 ans de consultations : 2 décès par cancer du col chez des femmes (6 ans sans frottis)…quelle épidémie ! » Mais il faut bien dire qu’il existe une double pression sur les médecins. D’une part, ce n’est pas si simple pour eux de s’exprimer publiquement sur le sujet vu le poids des laboratoires. Et, d’autre part, la pression « en interne » dans le milieu médical marginalise les médecins minoritaires qui se montrent circonspects ; Annick, médecin, a pu le constater sur son lieu de travail : « Mes collègues sont horrifiés de me voir aussi réticente à vacciner à tour de bras » et d’ajouter qu’« il est absolument nécessaire que les médecins aient un accès facile et efficace à une information de qualité non sponsorisée par les labos ».

A la Une

Comme pour l’hépatite B

En matière de vaccination, les laboratoires exagèrent souvent les bénéfices de leurs produits et en minimisent les risques. Officiellement recommandés et remboursés, les vaccins contre le cancer du col de l’utérus (400 € les 3 doses, en 2008 N.D.L.R) deviennent accessibles à la plupart des familles. De nombreuses personnes pensent que, si un produit est cher en matière de santé, c’est qu’il est forcément valable ou que, s’il est remboursé, il ne faut pas s’en priver ! C’est faux et les similitudes avec le vaccin contre l’hépatite B, présenté lui aussi à l’époque comme indispensable, sont là pour le rappeler. En attendant, les fabricants, eux, espèrent déjà que cette vaccination sera étendue aux hommes…

Et pour aller encore plus loin,
nous vous proposons…

– Publié par le magazine Belle-santé, un extrait du complément de ce dossier, sous la forme d’une contribution du Professeur Michel Georget
– Un blog de réflexion sur les vaccins et ce qui sous-tend la vaccination
– Le site de la mutualité française qui rappelle la prudence à avoir face à la vaccination de masse HPV et le rôle clé du frottis, seul acte médical indispensable
– Le site du chroniqueur médical Martin Winckler qui donne des explications détaillées sur cette vaccination
– Un bon site d’actualité où on peut lire l’avis conjoint d’un médecin français et d’un pharmacien belge au sujet de cette vaccination
– Un site de réflexion de référence sur l’actualité de l’industrie pharmaceutique et ses produits, dont les parties sur le Gardasil et Cervarix
– A télécharger, une bonne synthèse, sorte de petit résumé des grandes implications de vaccins transgéniques comme ceux-là
– Le site de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV), par exemple, à cette page fort instructive sur les composants des vaccins
– Dans son numéro de décembre 2008/janvier 2009 (n°111), le magazine Belle-Santé continue cette enquête et enfonce le clou de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus avec, notamment, des précisions apportées par le Professeur Michel Georget (spécialiste des vaccins), ainsi que l’avis du Professeur Claude Béraud.A noter que sur son site internet, Belle-Sante propose de larges extraits des articles qui y sont publiés.

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