Santé
Cosmétiques bio anti-âge
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Christel, pourquoi avez-vous créé Biomana ?
Depuis près de 30 ans, j’ai été sensibilisée par les nombreuses discussions avec des acteurs de la filière agricole biologique et par mes amies déjà convaincues qu’une alimentation saine par le bio garantissait une meilleure santé. Je suis devenue peu à peu consommatrice de ces produits sains et naturels. C’est vraiment lorsqu’un de mes enfants a eu des problèmes d’allergies et d’intolérances à certains additifs, colorants, conservateurs … que le déclic total bio m’est apparu comme une évidence.
Pourquoi le nom « Biomana » ?
L’origine du nom BIOMANA vient de « Bio » et du terme « mana » (ou « mamana »), très répandu dans toute l’Océanie et plus particulièrement en Polynésie qui signifie « pouvoir », « puissance », « vérité », « validité », « estime des esprits », « efficacité » et autres concepts analogues associés au succès. BIOMANA est une marque déposée.
Comment sélectionnez-vous vos produits ?
C’est la rencontre avec ces personnes qui défendent des valeurs, qui m’a donné l’envie de partager avec vous leur savoir-faire. Certains d’entre eux ont un véritable engagement auprès de populations qui vivent de la production de bases utilisées dans la Cosmétique Biologique comme l’argan, le beurre de karité, les plantes ou végétaux issus de forêts amazoniennes. Ce respect des producteurs locaux dans l’esprit d’un véritable commerce équitable est un critère important pour moi.
C’est la passion que j’ai vue en chacun des partenaires qui m’a séduite. Sans que cela ait été un choix a priori, la plupart de mes fournisseurs sont des femmes. Elles ont toutes une exigence de qualité et d’éthique hors du commun. Chacune a une démarche qui lui est propre : engagement avec des coopératives locales de femmes au Maroc avec l’huile d’argan cosmétique pour ARGANATICUM, recherche et développement avec un laboratoire universitaire situé à Besançon pour EKIA et engagement auprès du peuple amazonien pour l’extraction de la sève du dragon de l’arbre (Croton Lechleri) qui est un des principes actifs puissants de la marque. La créatrice d’OFFICINEA, en pharmacie-cosmétologie, a mis au point ses propres soins destinés pour la plupart aux peaux matures.
Cet engagement se reconnaît dans la qualité des cosmétiques. Je pense par exemple à une crème anti-âge de la gamme Ekia qui contient trois fois plus d’actifs qu’un produit équivalent d’une marque très haut de gamme coûtant six fois plus cher.
Je porte une attention particulière au respect des labels. En effet, des produits étiquetés « bio » sont parfois conditionnés aux Etats-Unis, ou en Chine, où les labels n’ont pas la même exigence qu’en Europe. Tous mes cosmétiques sont produits en France, et bénéficient des labels Cosmebio ou Nature et Progrès. Ils sont garantis non testés sur les animaux.
J’essaie personnellement tous les cosmétiques que je propose sur biomana.com : ayant une peau très sensible, et à tendance allergique, je suis très exigeante sur la qualité des cosmétiques. Les produits que je commercialise sont ceux que je conseillerais à une amie. Je propose des soins aux textures différentes : huiles (fluide), beurre de karité (un peu plus ferme qui fond au contact de la peau), émulsion (onctueux) afin de satisfaire les attentes de mes clientes.
Pourquoi des cosmétiques bio anti-âge ?
Beaucoup de sites internet vendent une gamme très large de produits bio, depuis l’entretien de la maison jusqu’aux compléments alimentaires. Il me semble difficile de maintenir une exigence de qualité et une capacité de conseil sur une gamme aussi large.
J’ai donc décidé de me spécialiser sur les cosmétiques anti-âge, pour lesquels je suis capable de conseiller mes clientes en fonction de leur peau, et de leur sensibilité. Comme je le disais précédemment, j’ai également pu faire une sélection rigoureuse de mes cosmétiques pour leur efficacité et le niveau d’exigence des fabricants.
A la Une
Pouvez-vous nous parler de quelques-uns de vos produits ?
La nature nous offre ses bienfaits, le peuple Amazonien nous en dévoile toute sa richesse. Je pense à différents soins de FOREST PEOPLE comme l’huile de Chanvre qui relance la micro-circulation, destinée aux peaux sujettes à rougeurs, elle atténue la couperose et apaise le feu du rasoir. Un de mes amis l’a essayée et le résultat est spectaculaire après 2 semaines d’utilisation ! Il y a l’huile de Tamanuqui est très efficace pour la cicatrisation des plaies ouvertes, les escarres variqueux, les hémorroïdes. Une amie l’a utilisée après une intervention chirurgicale, elle a une peau fragile qui ne cicatrise pas très bien. Elle m’a montré la cicatrice obtenue après usage de cette huile, on ne voit juste qu’une très fine cicatrice…elle a été enchantée du résultat.
Je propose également d’autres huiles amazoniennes spécifiques utilisées pour leur pouvoir assainissants, régénérants ou drainants. L’huile d’Andirobaest indiquée pour les « bobos » du quotidien : brulûres, chocs, coups, courbatures douleurs rhumatismales, lumbagos, sciatiques. L’huile de Copaïba est traditionnellement utilisée en Amazonie pour soulager les problèmes de peau type eczéma, herpès, psoriasis, mycoses et contribue à la cicatrisation. J’ai personnellement utilisé cette huile pour des mycoses et un eczéma quelques jours ont suffit pour venir à bout des problèmes. L’huile de Péquia est utilisée pour apaiser les coups de soleil et limiter l’apparition des taches brunes elle est reconnue dans le bassin amazonnien pour le soulagement qu’elle procure dans les difficultés articulaires ou rhumatismales. Certaines de ces huiles ont une odeur particulière à l’application, il suffit d’une petite quantité de produit en application locale pour une efficacité remarquable.
Pour chaque soin, des recommandations sont décrites sur le site et je propose des recettes pour une utilisation aisée de certains produits sur mon blog bio anti-âge notamment le Rhassoul, l’huile d’argan, le beurre de Karité etc… Vous pouvez également me contacter pour avoir des conseils en m’envoyant un courriel ou en me téléphonant.
Pour tout renseignement et commande s’adresser à :
Biomana
24 A rue Kléber – 59493 Villeneuve d’Ascq – France
Tel. : 06 71 66 47 53 ou 03 66 72 11 66
christel@biomana.com – www.biomana.com
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Santé
Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
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Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)
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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?