Santé
Le blé khorasan de la marque Kamut®
Santé
Le blé khorasan Kamut®, de culture exclusivement
biologique, jamais modifié génétiquement, est
apprécié pour sa saveur naturellement douce à
l’arôme de noisette, ses valeurs nutritionnelles
et sa grande polyvalence d’utilisation.
Goûtez la différence
Les produits khorasan Kamut® présentent de nombreux avantages culinaires. Avec son goût unique et sa grande digestibilité, elle est la céréale idéale pour préparer une multitude de plats, qu’il s’agisse de repas riches ou d’en-cas rapides.
Elle est parfaite en cuisine traditionnelle et gastronomique. Elle convient aussi aux personnes très actives, aux enfants en pleine croissance et aux athlètes qui recherchent des mets énergétiques, sains et équilibrés. Grâce à son goût très doux, on n’a pas besoin de rajouter du sucre dans les produits.
La céréale Kamut® est idéale pour la farine, le pain, les crêpes, les biscuits, les cakes, les en-cas, les céréales pour petits déjeuners, les mueslis, les pâtes, le boulgour, le couscous, les pizzas, les gâteaux apéritifs, un sirop, une délicieuse boisson, un jus de jeunes pousses, etc.
L’origine, redécouverte
et région de culture
Le blé khorasan KAMUT® est un ancêtre du blé dur moderne et provient du Croissant Fertile, un territoire qui s’étend de l’Egypte en passant par la Palestine aux vallées des rives du Tigre et de l’Euphrate.
Après la Seconde Guerre mondiale, cette céréale avait pour ainsi dire disparu de notre planète jusqu’à ce que Bob Quinn, ingénieur agronome et biochimiste, s’y intéresse et découvre sa valeur nutritionnelle exceptionnelle.
Comme la céréale khorasan est très sensible à l’humidité, actuellement, afin de pouvoir garantir les critères de qualité de la marque Kamut®, elle est cultivée dans les prairies sèches du Saskatchewan au Canada et dans le Montana aux Etats-Unis sur une terre riche en sélénium et protégée par les montagnes. Les agriculteurs reçoivent un prix équitable et stable en compensation du faible rendement. Nous continuons de faire des essais de culture dans d’autres pays plus proches de l’Europe qui présentent les conditions culturales et climatiques adaptées.
Energie et valeur nutritionnelle
Ce blé ancien donne plus d’énergie que le blé ordinaire. Il contient un surplus de 20 à 40% de protéines, davantage de lipides, d’acides aminés essentiels (+65%), de vitamines et de minéraux. Il s’agit notamment du zinc, du magnésium, de la vitamine E (+ 30%) et du sélénium, un oligo-élément réputé pour ses qualités anti-oxydantes.
Une céréale aux propriétés particulières
Cette céréale est une excellente alternative au blé moderne. Une étude de l’IFAA aux USA (International Food Allergy Association) nous informe que 70% des personnes sensibles au blé supportent les produits khorasan Kamut®.
Nos 4 projets de recherches en cours :
1. Sensibilité alimentaire
2. Capacité antioxydante
3. Fibres alimentaires
4. Empreinte génétique
A la Une
Pourquoi utiliser
une marque déposée (®) ?
En 1990, Kamut International a déposé le mot « Kamut » en tant que marque déposée afin de pouvoir protéger et préserver les qualités exceptionnelles de cette céréale ancienne, et pour que tous ceux qui s’intéressent à la nourriture saine et de haute qualité puissent en profiter. La marque Kamut® est un label de qualité et garantit aux consommateurs les caractéristiques originelles de ce blé ancien.
Le mot « Kamut » n’est pas le nom d’un blé, il représente le nom de la marque déposée qui signifie « blé » en égyptien ancien. Nous avons établi des critères de haute qualité pour la culture de la céréale ainsi que pour la fabrication de produits khorasan Kamut®.
La philosophie de notre entreprise est de préserver la pureté, l’unicité et l’authenticité de cette céréale exceptionnelle en respectant les ressources humaines et environnementales.
La céréale de marque Kamut® :
1. doit être issue de semences originales de blé khorasan Kamut®.
2. doit être cultivée uniquement comme produit certifié biologique.
3. doit avoir un taux de protéine situé entre 12 et 18%.
4. doit être dépourvue à 99 % de toute contamination par des variétés de blé moderne.
5. doit être dépourvue à 98 % de tout signe de maladie.
6. doit contenir entre 400 et 1000 ppm de Sélénium.
7. ne sera pas mélangée avec un blé moderne dans la fabrication des pâtes.
8. ne sera pas utilisé dans les produits avec un emballage trompeur par apport au contenu de l’emballage.
Pour tout renseignement et commande s’adresser à :
KAMUT Enterprises of Europe bvba
28 Rue Meulhouck, boîte 53, 59254 Ghyvelde – France
Tel : 06 64 87 72 92 – www.kamut.com
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Santé
Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
A la Une
Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)
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Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?