Santé
Qu’est-ce que l’argent colloïdal, pourquoi et comment l’utiliser ?
Santé
Un colloïde est une préparation constituée de particules infiniment petites en suspension dans une eau purifiée de très haute qualité. L’argent colloïdal ne se dissout pas dans l’eau, mais se diffusent uniformément dans la solution.
Bien que de nombreuses techniques différentes aient été développées au cours des dix dernières années, afin d’obtenir un argent colloïdal de qualité. La meilleure et la plus fiable reconnue est celle du processus électrique, car il s’agit de la seule méthode qui permette de préserver l’homogénéité. Cette technique par électrolyse, permet d’obtenir des particules infiniment petites (d’argent pur à 99,999 %) en suspension dans le liquide.
Comment agit-il ?
L’argent colloïdal agit au niveau cellulaire. Il a de nombreux effets positifs sur notre organisme, basés sur des faits scientifiques avérés. Son action la plus connue est l’élimination des bactéries et virus nocifs de notre organisme, simplement en détruisant leur système respiratoire. L’argent colloïdal est également réputé pour son effet régénérateur de cellules et cicatrisant. En effet, il permet aux tissus de se reconstruire plus rapidement, tout en empêchant l’infection.
De même, il comble notre carence en argent minéral, naturellement présent dans l’organisme, ce qui permet de renforcer nos défenses immunitaires naturelles en agissant sur la production de globules blancs. L’argent colloïdal agit également sur l’oxygénation du sang en améliorant la production des globules rouges, ce qui accroît les capacités physiques et la récupération. Il peut donc être un moyen efficace en cas de mal d’altitude. Pour ces raisons, certains commerçants le vendent en tant que dopant naturel et légal.
L’un des atouts majeurs de l’argent colloïdal est que les germes ne développent pas de résistance à l’argent colloïdal, ce qui n’est pas le cas des antibiotiques.
Selon certains rapports d’études et revues médicales, l’argent colloïdal en faible concentration (10 à 20ppm) ne provoque aucun effet néfaste. L’argent colloïdal ne présente aucun danger pour l’homme. Il est neutre de goût et d’odeur, ne provoque ni irritation, ni brûlure, et peut être utilisé sans aucun risque dans les yeux et sur la peau. Aucun effet indésirable sur l’organisme humain lié à la prise d’argent colloïdal n’a été constaté à ce jour. De plus, l’argent étant naturellement présent dans l’organisme, il peut donc être administré conjointement à un traitement médical sans aucun risque d’interaction.
L’argent colloïdal de qualité professionnelle n’a aucune toxicité. Selon des études, il faudrait ingérer plus de 300 litres en une journée, ou 96 litres par jour pendant une année avant qu’il ait un effet toxique sur l’organisme. Ainsi, l’argent colloïdal ne présente aucun risque pour les cellules du corps humain, des mammifères, reptiles, plantes et tout organisme multicellulaire vivant
L’utilisation de l’argent colloïdal de plus en plus répandue, les études scientifiques et les témoignages ont permis, ces dix dernières années, de découvrir ses nombreux bienfaits sur notre organisme, et les recherches n’en sont qu’à leur début.
L’argent et la médecine contemporaine
Pendant les dernières guerres mondiales, avant l’utilisation des antibiotiques, des solutions à base d’argent étaient utilisées pour prévenir et traiter les maladies infectieuses. On utilise encore aujourd’hui des préparations connues, tel que le nitrate d’argent, comme collyre pour les nouveau-nés. On trouve également, dans les pharmacies, des pansements contenant de l’argent pour traiter les infections. L’acuponcture utilise des aiguilles en argent pour éviter les infections.
Les propriétés désinfectantes de l’argent sont également utilisées dans le matériel médical, tels que les cathéters urinaires afin d’éviter les infections, et les tubes de respiration permettant de ventiler les patients intubés afin de prévenir les infections liées aux poumons.
L’utilisation de l’argent comme germicide au cours de l’histoire
Pendant des milliers d’années, l’argent a été utilisé comme agent de guérison par les civilisations à travers le monde. Son agent de conservation et de guérison remonte aussi loin que les empires grecs et romains antiques. Bien avant le développement des produits pharmaceutiques modernes, l’argent a été employé comme un germicide polyvalent.
Les Grecs et les Romains utilisaient des récipients en argent afin de conserver l’eau et autres liquides frais (toutefois, nous savons aujourd’hui que l’argent massif a des propriétés germicides inférieures aux infimes particules d’argent colloïdal en solution).
L’utilisation de l’argent est mentionnée dans les anciennes écritures égyptiennes. On en imprégnait les bandages servant à panser les blessures.
A la Une
Au Moyen Age, les plus riches se protégeaient des grandes épidémies comme la peste en utilisant des couverts en argent (ils ingéraient ainsi de petites quantités d’argent en même temps que leur nourriture). Il était connu que les agents pathogènes causant la maladie ne pourraient pas survivre en présence de l’argent. Les empereurs chinois mangeaient également avec des baguettes d’argent.
Avant l’introduction des antibiotiques, l’argent colloïdal a été largement utilisé dans les hôpitaux et a été reconnu comme bactéricide pendant au moins 1200 ans.
A l’aube des années 1800, les médecins utilisaient des sutures d’argent pour recoudre les plaies chirurgicales et permettaient d’obtenir de très bons résultats.
Pour découvrir d’autres utilisations de l’argent dans les nouvelles technologies, cliquez ici.
Pourquoi l’Argent Colloïdal est si peu Connu ?
Le prix qu’un producteur d’argent colloïdal doit débourser afin de pouvoir le vendre en pharmacie est à la portée des seuls groupes pharmaceutiques. Or, ces derniers ne peuvent obtenir l’exclusivité pour un produit comme l’argent colloïdal. L’argent est un élément naturel à l’état brut, il ne peut donc pas être breveté. Ce qui pose aussi problème aux groupes pharmaceutiques, c’est que l’argent colloïdal agit sur plusieurs pathologies, à la fois d’origine bactérienne, virale, et fongique (champignon), alors qu’aujourd’hui, il nous est proposé plusieurs médicaments pour lutter contre une seule maladie. Si l’argent colloïdal devait se commercialiser à grande échelle, cela aurait pour conséquence de vendre moins de médicaments. Mais en ces temps de crise, le profit est plus important que la santé, et les fonds pour la recherche sont attribués aux produits et technologies qui offrent le plus grand profit possible. Voilà donc pourquoi l’argent colloïdal n’est pas reconnu comme alternative aux antibiotiques.
Posologie
L’argent colloïdal peut être utilisé pour lutter contre les maladies d’origine virale, bactérienne et fongique. Une grippe saisonnière, la maladie de Lyme, les mycoses, l’halitose, les bronchites, la pneumonie………. Cliquez ici pour consulter une liste non exhaustive…
Les résultats des tests scientifiques réalisés par un laboratoire indépendant montrent que l’argent colloïdal de concentration entre 10ppm et 30ppm détruit la plupart des microbes en quelques minutes. De toute évidence, une concentration supérieure à 30ppm ne serait pas plus efficace.
Les points de vue, commentaires et autres renseignements diffusés ont pour seul but de fournir de l’information D’aucune manière, ces points de vue, commentaires et renseignements ne constituent une recommandation de traitement. En cas de malaise important ou de maladie, consultez d’abord un médecin ou un professionnel de la santé.
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Pasteur, mystification et vaccination
Santé
Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.
Le centenaire de la vérité
La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.
Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie
Pasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !
La supercherie de Pouilly-le-Fort
Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.
Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?
A la Une
Ne pas se tromper de combat
Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.
* Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.
Un peu d’histoire
• 14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
• 27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
• 1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
• 1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
• 1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
• 1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
• 1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
• 1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
• 1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
• 19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
• 1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
• 1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
• 1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
• 1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
• 22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
• Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
• 1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
• 1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
• 1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
• 1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.
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